21/02/2018
Leur solution humanitaire ...
pour payer moins d'impôts
en aidant les immigrés
devenez S.D.F.
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VOTRE PROCHAIN FESTIVAL DE CAME
BLACK PANTHER
LE RACISME ANTI BLANC
N'EXISTE ÉVIDEMMENT PAS
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11:27 Publié dans Actualité, Dessin humoristique, Politique, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : héberger des migrants, baisse d'impôts, france terre d'asile
20/02/2018
Archi diplômé, archi vilipendé
Wauquiez Laurent
THE FLINGUEUR
12:06 Publié dans Actualité, Dessin humoristique, Education, Enseignement, Macron, Media, Politique, Société | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : laurent wauquier, em lyon, xavier bertrand, valérie pécresse, emmanuel macron
19/02/2018
Biathlon Martin Fourcade
C'est le bout de la chaussure
qui décide du résultat
12:58 Publié dans Actualité, Dessin humoristique, Media, Sport | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : martin fourcade, j.o 2018, pyeongchang, biathlon 2018
17/02/2018
Les Tarzanides du grenier n° 286
Comment dites vous : Domérat ?… Autrefois un village de l’Allier dont le clocher s’apercevait au loin et au-dessus des vignobles qui le séparaient de Montluçon l’ouvrière. Aujourd’hui les raisins ont disparu à cause des vieux vignerons morts. Leurs vendanges n’étaient pas un cru de haute race ; nous disions, ils disaient : de la piquette !
Une statue modeste garde le souvenir des vignes, à proximité de l’église. Une statue de Bacchus. Un jeune homme en équilibre instable sur des tonneaux formant son socle. Hélas ! comme l’artiste n’était pas bien habile, son personnage ne titube pas d’ivresse fermentée mais semble plutôt osciller des hanches et des fesses pareil à un travesti posté à l’orée du bois.
Ce n’est pas pour cette œuvre banale que je me suis rendu ce matin de samedi 17 février, dans Domérat : c’est pour le Salon de brocante de livres et de journaux une fois l’an. Je n’en suis pas revenu bredouille mais pas non plus la bignache pleine. C’est tout juste si j’ai trouvé un lot de l’hebdomadaire Bédé HURRAH, année 1940. En page 5 j'ai revu une vieille connaissance LE FANTÔME D'ACIER.
Ce personnage masqué, oublié d’aujourd’hui, mes jeunes années le connurent par l’intermédiaire d’un adulte né une décennie avant la guerre 1939-45. Ce voisin archi-alcoolique possédait une carabine coup par coup qui s’armait avec des plombs. De temps en temps il invitait un gamin de notre voisinage : « Viens on va aller tirer les moineaux ! ». La chasse se passait tout au long du ruisseau des Étourneaux, alors presque inhabité en remontant vers l’étang de Sault.
Les copains du quartier et moi savions ce que l’invitation suggérait. En échange d’apprendre à tuer les petits oiseaux, le gosse se laissait tripoter partout-partout
Allez ! pas de vilaines suppositions de votre part : le gamin ce n’était pas moi. Et la preuve c’est qu’il se suicida à l’approche de ses vingt ans, et que moi je suis encore ici à griffonner du papier.
je crois bien que c’est ma grand-mère qui me fit lire dans le quotidien CENTRE MATIN un article parlant de cette disparition brutale. Le journaliste l’attribuait à une grosse déception amoureuse provoquée par une fille. Les filles sont dangereuses.
Doc Jivaro
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16/02/2018
SNCF : 50 milliards de déficit annuel ?
Les mauvaises langues clabaudent
Mémoire Ferrifère
Chaque année depuis celle de mes dents de lait jusqu’à celle de mes premières éjaculations, nous voyagions par le train jusqu’à Parsac en Creuse. Il y avait Maman, il y avait Papa et il y avait moi sans la bonne. C’était le 15 août pour la fête mariale.
Le départ s’effectuait à Montluçon.
— Bonjour monsieur ! Je voudrais trois tickets : deux pour des grandes personnes et un pour un enfant.
Maman payait avec l’argent de Papa, puisque Papa était travailleur salarié quand Maman travaillait aussi mais sans être payée puisqu’elle travaillait comme Jeanne d’Arc : au foyer.
Sur le quai il y avait un monde fou, celui des congés payés et, à ce moment-là, pas question d’être propriétaire d’une voiture à essence.
Dans le train pratiquement toutes les banquettes en bois étaient occupées par des familles SNCF pour qui le transport était gratuit. Au contraire nous qui déboursions notre fric en espérant avoir une place assise nous nous trouvions à demeurer debout.
– Ton Père va encore se ramener au dernier moment.
Chaque fois que Papa sortait de la maison c’était comme s’il devait mettre toute une garnison autour d’elle. Il vérifiait trois ou quatre fois la fermeture du gaz, celle des robinets d’eau et testait la résistance de chaque serrure fermée à double tour de clef.
Par tout un jeu des épaules autour d’une trentaine de bustes, papa s’était rapproché de nous dans le couloir du wagon surchargé : Henriette je suis ici ! attends-moi ! ne bouge pas ! Comme
si maman, prisonnière de ses deux bras croisés contre lesquels pesait une voisine, avait pu décoller sa cheville gauche de sa cheville droite. … Et papa s’impatientant, ajouta : Qu’est-ce qu’ils fichent les gars du rail ? On est tassés comme au temps de l’occupation allemande. Il faut accrocher un wagon supplémentaire.
Nous étions bel et bien immobilisés. Mon visage du côté de ma joue était malgré moi appuyé contre le bas du veston d’un type. Pour un peu j’aurais entendu coasser la grenouille que nous avons tous dans nos boyaux.
La locomotive à charbon et à vapeur tardait à démarrer. Une voix de femme, soudain, domina notre inconfort de bestiaux : « On ne peut pas partir il parait qu’il y a un bonhomme qui s’est allongé en travers des voies ».
Le bonhomme c’était Papa.
Ryal
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15/02/2018
Quelque part en France ...
par une nuit champêtre
10:59 Publié dans Actualité, Dessin humoristique, Faits-divers, Justice, Media | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : saint franc, recherches criminelles, enlèvement fillette, pont-de-beauvoisin, avocat alain jakubowicz, parquet de bourgoin-jallieu