10/10/2013
40 millions de chauffards N° 1
J'ai dû halluciner.
Voici une t'auto-photo de qualité amateur prise dans une des rues de Montluçon City infernale, au bas d'une côte longtemps qualifiée de « Côte rouge ».
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Il travaille t'où votre mari ?
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À la Côte rouge.
Entre deux panneaux « stationnement interdit », toute une rangée de t'auto mobiles à l'arrêt. Dormantes sans fatigue sur place. Quoiqu'une ligne jaune tracée sur le bord du trottoir confirme l'interdiction de …
C'est que c'est toléré entre midi et deux heures, me dit un bonhomme dont l'accent régional dénonce un mauvais français, c'est-à-dire un français dont le nom de famille doit être présent depuis plusieurs générations sur les registres des paroisses.
Je regardais la Rolex blindée autour du poignet de ma femme : les aiguilles n'indiquaient même pas onze heures ! Alors le bonhomme s'éloignant me rappela à la réalité du voyageur de Michelson : « Le temps, Monsieur, c'est du relatif ».
16:50 Publié dans 40 millions de chauffards, Actualité, Consommation, Dessin humoristique, Moeurs, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : stationnement en ville, stationnement i nterdits, code de la route, chauffards
09/10/2013
Quelle femme pour le Panthéon ?
Casque d'Or
ou la Grande Marcelle ?
Lorsque PICASSO tomba mort, je ne sais plus quel type présent dans un de nos cocktails parisiens, s'exclama le plus sérieusement du monde : Il faut l'entrer au Panthéon !
De mon côté, sans cesser de mâcher une tranche de viande froide, je proposai d'allonger l'artiste peinturlureur dans le mausolée du Kremlin, entre Lénine, qui périt impotent, et Staline expulsé par Chrouchtchev.
Je me fis engueuler – c'était prévu. Cependant que malgré le danger, je parvenais à poser la question qui tue : « Est-ce que quelqu'un peut expliquer pourquoi on noue une cravate autour du cou d'un mort ; mais pourquoi on ne lui place pas sa paire de lunettes sur le nez ? »
On me répondit que la mort rend aveugle et que, donc, pas besoin d'avoir quatre yeux s'il faut les garder fermés dans le royaume des ombres.
Remarquons toutefois que la mort rend tout autant paralysé des deux jambes sans que ce handicap empêche de mettre les pieds du cadavre dans une paire de chaussures.
Parmi le petit groupe qui me reprochait d'avoir offensé la mémoire de l'illustre artiste, il y avait deux jolies femmes un peu mûres et qui s'énervaient. Elles se tortillaient, assises de travers, comme pour que leur croupe s'évadât de leur minijupe, et cela pendant que leur petite culotte jouait à cache-cache avec mes yeux.
Voilà pourquoi je ne regrettai pas d'avoir provoqué, contre moi, leur ire.
16:19 Publié dans Actualité, Blog, Dessin humoristique, Histoire, Littérature, Moeurs, Politique, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : femmes au panthéon, parité homme-femme, inhumation au panthéon, jeannette thorez
08/10/2013
Chez les potes UMP.PS ...
... comme les prémices d'une panique
14:56 Publié dans Actualité, Blog, Politique, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : brignoles, élections cantonales, forbach, valls, harlem désir, taubira, duflot, marine le pen, ps, fn, ump
07/10/2013
80 au lieu de 90
La vitesse des bagnoles
ne sera autorisée qu'avec lenteur
14:02 Publié dans Actualité, Dessin humoristique, Moeurs, Politique, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : sécurité routière, code de la route, limitation de vitesse, 40 millions d'automobilistes
06/10/2013
Aux bonnes heures des dames n° 18
« Il prend une allure de dur en m'quittant. Mais c'était plutôt mou dedans. » En 1963, rue Quincampoix, Lydia n'y tourna que pendant sept ou huit mois. Son ami de cœur (façon de parler) développa un cancer, qu'il en creva. « Et tant mieux, je te jure ! J'allais repartir chez mes parents, il me soutirait trop ».
Elle a eu ses moments de déprime, Lydia.
15:32 Publié dans Arts, Aux bonnes heures des dames, Barzinguettes, Brèves du trottoir, Moeurs, Sexualité, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : prostitution, prostitution populaire, sexualité, prostitution parisienne, moeurs
Aux bonnes heures des dames n° 17
Restez pas plantés là, vous deux.
Si vous ne montez pas, taillez vous !
15:32 Publié dans A tire d'Elles, Arts, Aux bonnes heures des dames, Brèves du trottoir, Moeurs, Sexualité, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : prostitution, prostitution populaire, sexualité, prostitution parisienne, moeurs