02/02/2014
Aux bonnes heures des dames n° 51
« Nathalie les poteaux » ne travaillait qu'en changeant fréquemment d'un carrefour à l'autre ; et par conséquent sans chercher à s'assurer une clientèle d'habitués.
La dernière fois que je l'entendis parler d'un tiercé raté à un poil près, c'était dans un petit bar à l'angle des rues Grenata et Palestro … Elle terminait un lait grenadine allumé d'un petit verre de rhum.
15:32 Publié dans A tire d'Elles, Arts, Aux bonnes heures des dames, Brèves du trottoir, Moeurs, Sexualité, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : prostitution, prostitution populaire, prostitution parisienne, sexualité, vie parisienne, moeurs
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