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19/01/2014

Aux bonnes heures des dames n° 48

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Aussi, elle les besogna dans l'étroite et sombre rue Boisseau ; pas longtemps, à peine cinq ou six mois.

 C'était assez laborieux. Les michés, fallait insister pour les décider à filer l'arrière train jusqu'à l'entrée presque jamais éclairée du tringle.

 Une consolation pourtant : le couloir double du petit hôtel des passades traversait l'immeuble, permettant d'aller et venir entre la ruelle Boisseau et la rue du Ponceau où l'on trouvait plus d'amateurs.

 Lydia se risquait certaines fois rue du Ponceau … Mais alors, gaffe ! Le crêpage de chignon entre filles rivales n'était pas loin.

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