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30/04/2013

Hollande social traite

Élu par les prolos

sauvé par les patrons

 

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29/04/2013

Moi, Président ... Moi, Président ...

Capitaine Pédalo promu

NAUFRAGÉ  SOCIALO

Un an de dérive

 

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28/04/2013

A tire d'Elles n° 69

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Alors, toujours à attendre la Julia ?

Je t'ai dit que c'est son jour de repos.

T'as la tête dure.

A tire d'Elles n° 68

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Tu sais, il nous a repérés. Il dit que ça ne le dérange pas trop ;

mais va falloir faire gaffe. On va arrêter pendant quelques temps.

De quoi parle t'elle ?

27/04/2013

Les Tarzanides du grenier (n° 32)

Les onze font les douze


Dans la revue BIZARRE, n° 29 et 30 de l'an 1963, Francis Lacassin énumérant l'existence des 19 albums TARZAN publiés chez HACHETTE négligea de signaler l'absence d'un numéro 12. Il s'en corrigea quelque vingt ans plus tard chez l’Éditeur Veyrier ; mais toujours sans indiquer que le titre annoncé et jamais imprimé était « Tarzan et les Amazones ». Ce manquement se remarque également dans les numéros 590 à 593 de la Collection 10-18 de l'année 1971, du même auteur. 


La non parution de ce numéro 12 de Tarzan est généralement attribuée à la double censure catholique et communiste dont les effets falsificateurs se firent sentir plusieurs mois avant sa publication au Journal Officiel. 


Lorsqu'en 1940 parut l'album numéro 7 « Tarzan et les Pygmées », l'armée allemande se préparait à occuper pendant quatre ans le pays du Marquis de Sade … HACHETTE se vit obligé d'interrompre les exploits de TARZAN né de parents anglais. 


En 1947, l'éditeur français recommença les péripéties de l'homme-singe avec un album numéro 8 « Tarzan et le Petit Roi », qui n'est en rien la suite de « Tarzan et les pygmées » classé numéro 7. Deux années passèrent encore et c'est en 1950 que HACHETTE imagina d'imprimer dans un album numéro 12 la fin du numéro 7 restée en réserve pendant dix ans. 


Les albums 7 et 12 (si le 12 avait été édité) auraient donc regroupé une grande aventure de TARZAN initialement publiée en Sundays Pages made in USA depuis le 4/12/1938 jusqu'au 30/07/1939 et qui comporte trente cinq grandes planches BD colorées. Cette aventure se termine par une rivalité entre TARZAN et des femmes guerrières, rivalité n'emplissant qu'une petite dizaine de pages. On peut donc supposer que le nombre restreint d'images fut jugé insuffisant par les maquettistes pour emplir un album HACHETTE, composé habituellement de quarante huit pages. 


D'où notre penchant à supposer que la censure catho-coco ne fut pas la cause unique du renoncement à publier un « TARZAN et les femmes libérées », numéro 12. 

•  Vous venez d'écrire étourdiment « femmes libérées » mon pauvre ami.

• J'ai écrit ça, moi ?

• Oui, vous.

• Je fume d'être embrouillé dans ma tête. Je me demande parfois comment les amazones réussissent à ne pas se comporter en lesbiennes. Peut-être parce qu'elles n'existent que comme des inventions érotiques produites par la part variable de masochisme présent dans chaque homme.

 

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Ci-dessus 2 vignettes venant de JUNIOR, année 1939 et pendant la journée du 5/10. Remarquez l'ombre portée sur Tarzan, ombre par laquelle le dessinateur Hogarth a caché le baiser lèvres contre lèvres que la Reine Kuleeah applique à TARZAN, profitant de l'évanouissement du héros. Comme si vu de dos le corps de cette amazone ne modérait pas assez l'étreinte passionnée !


Mais pour un père-la-pudeur on n'est jamais assez restrictif lorsqu'il s'agit de maltraiter les gestes d'amour de l'humaine animalité. Or, Hogarth se comporta toujours en hypocrite dans son œuvre dessiné même quand la décennie des années 1970 autorisait quasiment toutes les licences dans l'art et la littérature. 


Cette aventure que j'appelle « TARZAN et le chaînon manquant » (et que vous pouvez tout autant intituler « TARZAN et Linda » lorsqu'elle est complète), fit l'objet d'une deuxième publication en 1951, toujours chez HACHETTE mais aussi, toujours, atrophiée (Les chasses de Tarzan). L'épisode des amazones y est invisible ; le méchant-vilain Marsada s'en sort vivant, pardonné par un TARZAN devenu naïvement humanitaire. Quant à la jolie Linda, sa jupe trop courte risquant de traumatiser les enfants de Jésus ainsi que ceux de Staline, on l'affuble d'une soutane noire autour de ses jambes d'amoureuse.

 

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L'envol de Tarzan et Linda suffit pour symboliser de façon aérienne l'orgasme du couple homme/femme. Le parallélisme des quatre jambes ainsi mises à l'unisson, renforce l'illusion d'une jouissance commune réussie. Comme le dit le poète « Tous deux ne font plus qu'un ».

 

Docteur Jivaro

26/04/2013

37 assassinats en moins de 2 ans

La Corse est-elle un boulet pour la France ?

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