Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

24/02/2013

A tire d'Elles n° 51

Prostitution,prostitution populaire,prostitution parisienne,sexualité

Tiens ! Je te l'avais dit que ça ne marcherait pas. C'est rare quand ça marche avec elle. Lui comme d'autres l'aurait mieux fait de grimper avec moi.

Lydia à quelque peu la manie de faire des commentaires non favorables sur chacune des cinq filles besognant dans le même immeuble aux mêmes heures qu'elle.

C'est ainsi qu'elle nous a raconté que D … - une réunionnaise venue depuis longtemps de la rue de la charbonnerie - ne tâte du machin de ses clients qu'après avoir enfilé une paire de gants « comme pour une opération chirurgicale ».

La capote ne suffit pas pour la rassurer. Elle est un peu déboulonnée de là-dedans, c'est ce que conclut Lydia en se tapotant du doigt contre la tempe. 

 

A tire d'Elles n° 50

Prostitution,prostitution populaire,prostitution parisienne,sexualité

 

La grande blonde très sollicitée et dont j'ai parlé précédemment (15-07-2012) elle stationne encore dans une des rues donnant sur le Sébasto. 

Trente années de présence, ça fait un sacré bout de chemin au compteur.

 

17/02/2013

A tire d'Elles n° 49

prostitution,prostitution populaire,prostitution parisienne,vie parisienne,moeurs,sexualité

Vanessa en embarque un que Lydia et moi suivons du regard.

10/02/2013

A tire d'Elles n° 47

prostitution,prostitution populaire,prostitution parisienne,vie parisienne,moeurs,sexualité

- Non ! t'inquiète pas, c'est un maso qu'a payé

pour  se  faire  cogner  devant  tout  le  monde

A tire d'Elles n° 46

prostitution,prostitution populaire,prostitution parisienne,vie parisienne,moeurs,sexualité

Bien sûr qu'elle s'en souvenait du bonhomme ! Il resta planté pendant au moins une heure, en face, sur le trottoir des numéros impairs. Puis il partit, puis il revint, s'attardant à nouveau comme s'il se croyait invisible. 


Elle eut le temps d'en passer quatre, peut être six … Il était encore collé sur place ! Elle le repéra de la cravate jusqu'aux chaussures nettement, devenue d'une méfiance d'écureuil. Des fois que le type préparerait un sale coup ! Mais non, il laissait tout le temps de la laisser le photographier. Ou alors c'était un dingue. Il y en a tellement, des dingues ! 


Il disparut enfin, alors qu'elle s'était habituée à cette présence comme on s'habitue à une casquette de flic sur un uniforme de policier. 


Elle ne l'a jamais plus revu.


Elle en parla un fois avec Julia, la blonde qui dérouille au troisième et qui chantonne souvent suivie d'un client. 


  • C'est qu'il est amoureux de toi ! Il reviendra à la Saint Valentin pour t'en faire la confidence.

  • C'est ça, mon œil ! Je vais te croire.

    Ryal

03/02/2013

A tire d'Elles n° 45

prostitution,prostitution populaire,prostitution parisienne,vie parisienne,moeurs,sexualité

Après la passade.

- File moi du feu, Olga

- Tu ne peux pas te payer un briquet comme tout le monde ?