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10/11/2013

Aux bonnes heures des dames n° 28

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Et hop ! allez, avec elle, ils dégagent vite fait ! Toutes deux on se connaît depuis dix ans au moins. Mais elle n'est pas intéressante. Remarque qu'elle doit dire la même chose de moi.

Aux bonnes heures des dames n°27

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Lui, généralement, il arrive le vendredi soir, quand le gros de la clientèle s'est éclairci. Il apporte tout son attirail dans une valise du genre de celles des années 50. C'est un maso, un compliqué. "L'essentiel c'est qu'il paie bien".

07/11/2013

Le crédo des nouveaux pudibonds

Tous les membres et organes du corps humain

peuvent être convertis en objets de commerce

tous, sauf ceux de la sexualité

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05/11/2013

Fins de mois difficiles pour Belkacem

Elle tire le cochon par la queue et veut

1 500 euros pour chaque micheton

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(... et pour tout homme aussi)


03/11/2013

Aux bonnes heures des dames n° 26

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Dans le couloir, c'est Francine. En réalité c'est François qui se fait appeler Francine. Un travesti habitué auprès de Lydia. C'est elle qui le maquille, qui le déguise pour qu'il se fasse mettre trois ou quatre fois chaque vendredi. Elle lui loue un studio pour deux heures. Le prix des passes c'est elle qui le touche.


 Francine François venait régulièrement jusqu'à la fin des années 90. Mais les emmerdements causés dans le quartier par les lois répressives depuis 2003 l'ont découragé. Il espace ses visites, se prépare à cesser de venir.


 L'ambiance n'y est plus. Une époque disparaît.

Aux bonnes heures des dames n° 25

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•  Qu'est-ce t'as au bras, tu te le tiens ?

•  Arrête ! J'ai failli me faire faucher mon fric dans le métro. Juste avant Château d'Eau. De pire en pire que ça devient et faut trouver ça normal. Ils étaient deux.