13/10/2013
Aux bonnes heures des dames n° 19
Reste pas planté, viens me planter !
13:28 Publié dans A tire d'Elles, Arts, Aux bonnes heures des dames, Brèves du trottoir, Moeurs, Sexualité, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : prostitution, prostitution populaire, sexualité, prostitution parisienne, moeurs
06/10/2013
Aux bonnes heures des dames n° 17
Restez pas plantés là, vous deux.
Si vous ne montez pas, taillez vous !
15:32 Publié dans A tire d'Elles, Arts, Aux bonnes heures des dames, Brèves du trottoir, Moeurs, Sexualité, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : prostitution, prostitution populaire, sexualité, prostitution parisienne, moeurs
Aux bonnes heures des dames n° 18
« Il prend une allure de dur en m'quittant. Mais c'était plutôt mou dedans. » En 1963, rue Quincampoix, Lydia n'y tourna que pendant sept ou huit mois. Son ami de cœur (façon de parler) développa un cancer, qu'il en creva. « Et tant mieux, je te jure ! J'allais repartir chez mes parents, il me soutirait trop ».
Elle a eu ses moments de déprime, Lydia.
15:32 Publié dans Arts, Aux bonnes heures des dames, Barzinguettes, Brèves du trottoir, Moeurs, Sexualité, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : prostitution, prostitution populaire, sexualité, prostitution parisienne, moeurs
03/10/2013
Edgar Rice Burroughs
Image d'un roman
jamais écrit
14:33 Publié dans animaux, Arts, Dessin humoristique, Fanzine, Grenier de la BD, Journaux, L'avis des bêtes, Littérature, Media, Sexualité, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : edgar rice burroughs, roman, tarzan, illustration
29/09/2013
Aux bonnes heures des dames n° 16
C'est Lydia. La seule fois où je l'ai vue coller une baffe
à un blaireau qui venait de l'insulter.
14:38 Publié dans A tire d'Elles, Arts, Brèves du trottoir, Moeurs, Sexualité, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : prostitution, prostitution populaire, sexualité, prostitution parisienne, moeurs
Aux bonnes heures des dames n° 15
Cette foutue Carole, presque toujours de mauvaise humeur et qui refusait beaucoup de ceux qui la sollicitaient. Elle les dissuadait par un gros mensonge : "J'ai mes sangs. Je ne peux pas recevoir en ce moment".
Alors pourquoi trainaît-elle sur la longueur du trottoir, rue Palestro ?
14:37 Publié dans A tire d'Elles, Arts, Brèves du trottoir, Moeurs, Sexualité, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : prostitution, prostitution populaire, vie parisienne, sexualité