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08/01/2020

Tarzanides du grenier n° 395

 

La-Presse-magazine,-juillet 1955.jpg- Oui, je signe A. GRUM. C'est pour le jeu de mots : Agrume. Je me nomme Marcel Magrum, vous comprenez ?

 

Les dessins humoristiques parfois un tantinet coquins signés de A. Grum, nous les connaissions autant par l'Almanach Vermot que par l'hebdomadaire LA PRESSE ... Mais j'avais quelque peu tardé à le voir figurer de temps en temps sur une des pages du Canard Enchaîné.

 

Justement A. Grum, il m'avait invité chez lui, à Nanterre où il demeurait dans un bâtiment nouvellement construit, cette banlieue n'étant pas encore occupée par des populations d'immigration musulmane. Nous étions en 1965 ou 66.

 

- Non ! Je parie que vous ne voulez pas du thé, que vous préférez une bonne bière. D'ailleurs il fait chaud aujourd'hui.

 

L'épouse de A. Grum nous servit deux bibines vite suivies de deux autres. J'étais bien plus jeune que chacun des deux époux et, donc, un peu étonné qu'ils me vouvoient. A ce moment là il y avait une exposition de dessins caricaturaux dans l' Espace Culturel de Nanterre : nous nous y rendîmes à pied.

 

- Je vais vous faire connaître ces messieurs du Canard, comme on dit. Si vous voyez Moi-San vous comprendrez tout de suite qu'il est plein de lui-même. Avec son long cache-nez rouge il joue les Aristide Bruant.

 

En page deux le texte de la rubrique "Le Monde et ses Juges" est signé Sylvia Risser dans Presse Magazine n° 505 de la semaine du 12 au 18 juillet 1955. Ce genre de journal de distraction populaire était surnommé "Journal du coiffeur" puisqu'on le trouvait parmi d'autres sur une chaise mis à la disposition des clients en attente de se faire désherber le crane par le merlan du quartier.

 

Doc Jivaro

 

 

07/01/2020

Il y a 5 ans :

CHARLIE HEBDO était victime
de potes musulmans
CABU-BOIRA dénonça
d'où venait le crime
Charlie-Hebdo-janvier-2015.jpg

03/01/2020

Carlos Ghosn (bis)

Après l'euphorie

le spleen

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26/12/2019

Tarzanides n° 392

 

CASTAGNE

 

- Regardez bien. Vous le reconnaissez ?

- Qui ça ? … Le petit bonhomme chauve et brun dans un gilet vert ?

- N’faites pas semblant de ne pas comprendre : Vous avez reconnu SPIROU. Le vrai Spirou, celui de ses débuts lorsque Franquin relayant Jijé en faisait un bagarreur de première classe.

 

BD-Spirou-24-avril-1947.jpg

 

 

Ce Spirou « jeux de mains, jeux de vilains » date de 1947. Précisément le 24 avril de l’année. A ce moment là le scénariste et le dessinateur disposaient d’une liberté d’interprétation à laquelle ils durent renoncer pour ne pas se faire couper leurs vingts doigts par les ciseaux d'Anastasie la censeure. Remarquez bien, Commissaire Maigret, que presque tous les ingrédients d'une série noire s'y rencontrent : la cigarette, le whisky et qu’il ne manque guère que les petites pépées.

 

Quelque trois années plus tard, en 1950, c’est le MARSUPILAMI qui héritera de la violence avec laquelle autrefois SPIROU maltraitait ses adversaires les plus dangereux.

 

BD-Spirou-21-février-1957.jpg

 

 

Hélas ! finalement, à son tour, le faramineux marsupial perdra son agressivité native pour devenir indulgent comme un Tintin dont les deux mains ne se ferment jamais en deux poings capables de mettre K.O. l’ennemi.

 

Pauvre marsupilami ! Il ne lui reste plus qu’à servir de porte-bonheur, c’est à dire de fétiche protecteur en latex sur le tableau de bord d’une 203 ou d'une 2 CV, celle ci  toujours pilotée par la fille Seccotine. Oui, souvenez-vous : Seccotine était la jeune journaliste qui découvrit notre inattendu marsupial dans les forêts vierges de Palombie

 

BD-Spirou-6-mail-1954.jpg

 

Doc Jivaro

 

19/12/2019

En marge de nos problèmes sociaux

 
STAR WARS :

ANNONCE DU DERNIER ÉPISODE

 

BAR ZING  : 
BIENTÔT LE FINAL ?

 

 

Croyez le ou pas, Doc Jivaro n’a jamais assisté à l’un des épisodes de votre STAR WARS. Tout au plus à t’il entrevu sur son écran de TV quelques bonhommes agitant des tubes de néon décrochés d’un plafond. Ce que les fanas du genre nomment des sabres-laser.

 

De tels machins à faire des moulinets payés à grands coups de dollars, auront toujours devant Bar Zing moins d’importance que le bâton taillé dans un noisetier dont il se servait pour se frayer un passage à travers un groupe d’oies dans le sentier qu’il empruntait pour accéder au cimetière de Parsac en Creuse.

 

- Et qu’allait-il faire votre Bar Zing dans un cimetière alors qu’il n’était qu’un gamin de six ou sept ans ?

 

- Il allait, ne vous en déplaise, changer l’eau de trois ou quatre vases dans lesquels l’une de ses deux grand-mères avait mis des fleurs coupées. Oui, c’était ainsi chez les barbares d’hier : les morts se reposaient dans un grand jardin fleuri tout à côté du potager des vivants.

 

Ryal

18/12/2019

Mercredi 18-12-2019, tôt matin

MARTINEZ

victime de la C.G.T.

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