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30/11/2022

Poudre de perlin painpain

 

Notre baguette de pain française inscrite 

au Patrimoine immatériel de l’ UNESCO

 

 

Eh bien ! on comprend, à lire ça, que les juges n’ont pas connu une autre baguette de pain sortie pendant les années 70 du fournil (?) d’un boulanger parisien situé à l’un des quatre angles du croisement des rues Francs Bourgeois et de Sévigné, IIIe arrondissement. C’était probablement la plus mauvaise fournée de la Capitale. De quoi éloigner les touristes.

 

Je ne m’y servis qu’une seule fois quoique je logeais tout à côté.

 

Ce pétrin me fit regretter les boulangeries Dugléry et Détharet du quartier montluçonnais de mon enfance.

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29/11/2022

Dans Calais ...

Six bourgeois cèdent leur place 

à de vaillants travailleurs de la mer.

Une institutrice libérée

explique à vos enfants
Calais-migrants.jpg

28/11/2022

Martinez et Roussel ...

Leur syndicat encore 

aligné sur Moscou ?
grève-CGT-Gaz.jpg

27/11/2022

Tarzanide n° 541

LOLA

 

Dans le XIXe arrondissement parisien, un hommage vient d’être rendu à une jeune fille française torturée pour être assassinée par une algérienne obsédée sexuelle illégalement présente dans le pays du Maréchal Bugeaud. L’enfant se prénommait LOLA.

 

J’espère ne choquer personne en écrivant que le prénom de la jeune victime m’a remis en mémoire le titre d’un livret écrit et illustré pour distraire les enfants. Il s’agit des mésaventures d’une girafe géante prénommée LOLA ; livret édité en 1945 par les éditions WILLEB, celles-ci actives depuis 1900 et finalement disparues en décembre de l’an 1988.

 

 

 

Lola-illustratioin,-1945.jpg

 

 

Racontée et dessinée par Mireille Pradier, l’histoire fantaisiste offre un exemple rare : son titre placé tout en bas de l’illustration de couverture. Il est probable que les pérégrinations de Lola furent inspirées par le voyage bien réel, lui, d’une girafe africaine que MEHEMET ALI offrit en cadeau en 1827 à notre Roi Charles X. L’animal fit sensation en parcourant à pattes la distance de Marseille jusqu’au Jardin des Plantes de Paris. Tout au long de son parcours certaines auberges et restaurants adoptèrent alors l’expression « A la girafe » en guise d’enseigne. Par la suite, toute une littérature populaire se fit, ainsi que le montre le journal Le Petit Français illustré daté du 4 juillet 1903.

 

 

Le-Petit-Français-Illustré,.jpg

 

 

Dans le livret LOLA destiné aux enfants on peut constater que la censure permettait de suggérer la nudité totale d’un personnage dessiné à condition de recourir à une astuce picturale : noircir entièrement la silhouette du personnage et pas uniquement lorsqu’il s’agissait de représenter un négrillon. Attention : il existe aussi une mode « Négrillon » pour ce qui concerne certaines robes élégantes portées par des bourgeoises de l’ethnie blanche à l’approche des années 20 (c’est ce que me rappelle mon épouse ancienne chargée de recherches documentaires pour le Palais Galliera).

 

 

Lola-illustration-page-1945,-.jpg

                                                                 

 

Souvenirs, souvenirs : le petit bouquin LOLA me fut donné par une de mes petites voisines de mon âge vers mes sept ou huit ans. Je viens oh ! surprise de remettre la main dessus je l’avais conservé dans ma bibliothèque désordonnée dont le plafond est soutenu par des piliers formés de livres superposés.

 

Doc Jivaro

 

25/11/2022

Invectives, menaces ... vos députés indigestes

Doit-on brûler

le REICHSTAG ?

Olivier-Serva-corrida.jpg

 

23/11/2022

Adieu, veaux, vaches, cochons …

 

CORRIDAS

 

A propos de la corrida, mon épouse vient de dire : Le combat entre le taureau et l’homme se déroule dans un espace clos construit par l’homme et auquel il est habitué. Mais pourquoi l’affrontement ne se déroule t-il pas dans un champ, un terrain de pâturage dans lequel le taureau se sent à ses aises ? Ça donnerait moins l’avantage au toréador.

 

Bar Zinc n’a jamais assisté à une corrida. Il n’en connaît que des représentations picturales, voire des séquences cinématographiques.

 

 

MITHRA

 

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Avez-vous entendu parler de Mithra ? C’est un dieu antique d’origine indo-européenne représenté généralement occupé à mettre à mort un taureau. Toutefois, un détail dont la signification échappe encore aux spécialistes : la présence d’un scorpion piquant les testicules de l’animal. La religion de Mithra fut importée dans le monde latin par les légionnaires romains environ un siècle avant l’arrivée, toujours grâce aux guerriers conquérants païens, du judéo-christianisme, lequel ne manqua pas de calomnier comme satanique Mithra afin de le faire disparaître de la mémoire occidentale.

 

Pour ma part, il m’arriva de voir l’abattage d’animaux dans les anciens abattoirs à Montluçon. Quand j’écris « voir », je me comprends : je fermais les yeux quand la masse frappait la tête de l’animal … Il y avait tout un langage chez les tueurs : si la bête dirigeait son regard vers le bourreau, quelqu’un criait : Elle t’aime ! … Il faut savoir que de l’autre côté de la rue il y avait un bistro et qu’ainsi les bonshommes n’étaient jamais à jeun, jamais à sec pendant leur boulot d’égorgeur. Je me trouvais là-dedans avec mon oncle boucher-charcutier qui tenait son commerce dans le village de Saint Sauvier. Comme tous les autres bouchers la loi lui avait ôté son droit d’abattage des bestiaux qu’il achetait chez les paysans de la région. Cependant mon oncle s’imposait une règle : ne jamais manger de viande autre que celle choisie par lui. «  Il y a trop de bêtes malades vendues pour la consommation ! ».

 

- Mais il y a bien des vétérinaires qui visitent, disait mon père ?

 

- Tu parles ! Les dessous de table c’est pas pour les chiens.

 

Bar Zinc