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08/06/2021

Ce que c'est d'être photogénique

 

Coupez ! coupez ! 

la séquence n'est pas bonne

On la recommence.


Macron-giflé.jpg

06/06/2021

Tarzanide n° 500

 

Gibier humain dans la Bédé

 

 

Je ne sais plus quand mais je sais encore où : « Les Chasses du Comte Zaroff », film en noir mêlé de blanc de 1932 et film r’américain. Je le vis dans la petite salle de cinéma LE CHAMPOLLION, là où la pellicule faisait comme l’aller-retour entre le projecteur et l’écran. Mais était-ce avant ou après Mai 68 ? Toujours est-il qu’aujourd’hui ce bâtiment du Quartier Latin est classé Monument Historique.

 

Échappé des massacres que les bolcheviques firent subir à la Russie, le Comte Zaroff s’est réfugié sur une île où il s’adonne à son sport : la chasse au gros gibier, à savoir non pas le rhinocéros non plus que l’éléphant mais l’homme, mammifère réputé le plus intelligent du genre, donc le mieux capable de déjouer les pièges.

 

 

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J’appris alors que les décors d’une jungle estompée de brouillard confectionnés pour le film-colosse King-Kong servaient en même temps pour la réalisation du film signé de Ernest B. Schoedsak et Irving Pichel et que c’était pour cette raison que Zaroff malgré la simplicité de son scénario demeurait dans la mémoire des cinéphiles.

 

La bande dessinée, bien plus tard, s’empara du thème d’un homme chassant à mort un autre homme. Les aventurlures de Lord Greystoke m’en offrit un exemple dès que j’eus gagné mes neufs années d’âge. C’était dans le grand magazine TARZAN à partir du 16 février 1952 et sur sa douzième page toutencouleur. A ce moment là, nos BD se lisaient périodiquement, se succédant précédées d’un « à suivre ». C’était bien de la véritable BD.

 

 

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Toutefois, ici, le chasseur n’est pas Zaroff aidé d’une meute de moujiks et d’une patrouille de chiens friands d’un gargouillis de tripes. Le chasseur, ici, se nomme Malcom Ward. Il est accompagné de guerriers africains, des noirs, les Lébos, lesquels sont rendus serviles par l’absorption d’une drogue dont le nom ne nous est pas signalé dans la version française. L’épisode s’achève par la mise à mort du chasseur que Lord Greystoke jette en pâture à une plante carnivore en forme de pieuvre. Le scénario de Dick Van Buren est illustré par Bob Lubber auquel nous devons le Tarzan le plus souriant.

Deux autres présentations des chasses de Malcom Ward existent chez nous. Une première par les Editions Mondiales mensuelles du deuxième trimestre 1953 et une seconde, plus proche, chez SAGEDITION pendant l’année 1973. C’est celle-ci qui nous permet de connaître quelques unes des images qui n’apparurent pas dans l’édition hebdomadaire de 1952.

 

- Tu ne devrais pas permettre à ton fils de lire ce Tarzan !

 

Ce fut la réflexion que l’instituteur stalinien Servan de l’école Voltaire adressa à mon père alors que celui-ci était venu lui expliquer la cause de mon absence pendant la matinée de je ne sais plus quelle journée.

 

- Dis donc ! Répliqua mon père, ce n’est pas toi qui vas me dire ce que doit lire mon fils !

 

Papa et l’instituteur se connaissaient de longue date, l’un des deux fréquentant l’enclave communiste récemment bâtie Place de la Poterie dans Montluçon la rouge.

 

Doc Jivaro

04/06/2021

Sarcelles

 

La Madame La Commissaire ? 

Elle récidive

 

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02/06/2021

1933 années après Jésus-Christ

 

Un plus grand zombie ? 

MEIN KAMPF

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Devenu comme LE livre-culte du XXe siècle grâce à l’incessante publicité que lui font ses ennemis en le dénonçant comme le plus grand danger planétaire pour les mille ans à venir MEIN KAMPF vient d’être réédité pour être à nouveau commercialisé.

 

Adolf Hitler et Rudolf Hess réalisèrent ce texte polémique alors que le futur chancelier du Reich se trouvait emprisonné à Lamasberg-am-Lech par un jugement venu de la bourgeoisie de Weimar. Ce livre signé par le seul Hitler se termine par un hommage à un certain Dietrich ECKART. Mais qui est ce ? Reportez vous bien vite à votre Wikipédia favori.

 

Mein Kampf couverture.jpg

 

Pour lire Mein Kampf traduit en patois français nous vous recommandons le gros pavé publié en 1934 par Les Nouvelles Éditions Latines sous la responsabilité de Fernand Sorlot. Pour ma part si je possède un exemplaire de cette édition c’est pour avoir été en vacances d’août 1965 dans un bâtiment déserté par des religieuses en Haute Savoie, à Saint-Jean-de-Tholome précisément. Le bouquin abandonné derrière un rideau était en compagnie d’un des premiers albums Tintin : Les Cigares de Pharaon imprimé sans aucune couleur. Malheureusement manque la couverture.

 

Ah ! que je n’oublie pas : l’édition latine imprime sur sa page de garde un conseil : « Tout français doit lire ce livre » signé du Maréchal Lyautey.

 

Oui il s’agit de celui dont Clemenceau aurait dit : « C’est certain qu’il a des couilles au cul  mais ce ne sont pas toujours les siennes ».

Bar Zing