Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

16/11/2017

Les mairies socialo communistes sont au parfum

 

De plus en plus de services publics

sont assurés par des assoc salafistes

Postiers-en-grève.jpg

15/11/2017

Le torcon brûle entre gauchistes

Charlie-Hebdo-Tariq-Ramadan.jpg

14/11/2017

L'homme ne vit pas que de l'opération du Saint Esprit

 

Retour de la dîme ?

prières islamiques dans la rue française,rémi muzeau,les socialo communistes et l'islam,besancenot,yann moix,cathédrales islamisées,patrimoine culturel

13/11/2017

13 novembre 2015

 

HONTE A LA FRANCE !
une fois de plus le racisme

Une délégation de Daesh
interdite de commémoration
devant le Bataclan

Bataclan commémoration.jpg
 

11/11/2017

Les Tarzanides du grenier n° 275 bis

 

CROC BLANC

 

Rien que par ce titre le roman nous semblait à moi ainsi qu’à mes copains de classe un récit destiné à l'enfance. D’autant que le nom de Jack London nous restait inconnu, j’avoue. Aussi rangions-nous Croc Blanc dans le troupeau docile de Lassie ou de Mon Amie Flicka, troupeau logé quelque part entre l’Auberge de l'Ange Gardien et le calvaire d'un village breton. Une bibliothèque rose mais d’un rose moins attrayant que le rose d’un certain téléphone qui allait plus tard accaparer bien des cervelles. J’étais donc loin de savoir que l’aventurier romancier London n’avait pas écrit pour des écoliers mais pour des adultes vaccinés. Donc des lectures différenciées de celles recommandées par nos familles ; celles où l'Ogre se contente de MANGER les petits enfants sans jamais les sodomiser.

 

Lorsque parvenant à la fin de ma douzième année, je découvris CROC BLANC sous l’aspect quelque peu simplifié d’une bande dessinée, son ambiance de férocité sanglante m’étonna et attira à elle une curiosité instinctive pareille à celle qui me gagnait en regardant les photos d'un Paris Hollywood dissimulé entre les pages des « Merveilles de la Nature ».

 

BD-Prairie-n°-40-41,-1954.jpg

 BD-Prairie-n°-43-44,-1954.jpg

  

CROC BLANC fut publié dans les numéros 40, 41, 42 et 43 de l’illustré bimensuel PRAIRIE de juin, juillet et août 1954. Les dessins portaient la signature d’un Blum qui n’était pas Léon mais Alex.

 

BD-Prairie-n°40,-1954.jpg

L’histoire d’un jeune loup que des humains dressent 
pour tuer des chiens eux-mêmes dressés pour s’entre tuer
devant un parterre de spectateurs et de parieurs

 

Imprimé dans Clermont-Ferrand, PRAIRIE nous rappelle toujours un temps passé où le travail salarié allait bon train dans notre pays.

 

Le numéro 1 de cet illustré produit par l'éditeur IMPERIA, vit le jour en décembre 1951. Il naquit d'une initiative de Robert Bagage, lequel signa sous le pseudonyme de ROBBA les 24 premières couvertures de TARGA.

 

TARGA reste certainement l’un des Tarzanides les mieux réussis et compta jusqu’à 39 numéros très recherchés aujourd’hui.

 

Doc Jivaro

 

10/11/2017

La S.P.A. porte plainte ...

 

FAUT-IL INTERDIRE LA CORRIDA ?

Ça dépend du résultat.
Ici le résultat nous paraît correct.

 

Corrida-Goya lithographie.jpg

 Litho : Goya (1746-1828)

 

 

Une éleveuse de bestiaux nous fait savoir que … les taureaux sont naturellement des tueurs et, ainsi, en l'absence des corridas ils en viendraient à s’entre tuer, ce qui tôt ou tard amènerait la disparition de leur espèce.

 

Et alors ? les hommes et les femmes sont aussi des tueurs et des tueuses ... Est-ce que les taureaux organisent des corridas spectaculaires avec mise à mort de Maurice et de Georgette sous prétexte de conserver en vie l’espèce humaine ?