Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

17/03/2024

Tarzanide n° 585

 

SMET LE JOHNNY

 

 

Si vous eûtes l’âge de l’acheter et que vous le manquâtes, tant pis pour vous.

 

C’était en 1970 … Avril 1970. Le numéro 1 du titre JOHNNY était publié sans s’être annoncé.

 

- Pour passer inaperçu ?

- Ne plaisantez pas là-dessus. Mais moi je ne le ratais pas dans le kiosque à journaux de la Gare du Nord parisienne entre Le Figaro et L’huma-dimanche.

 

Johnny Halliday, TOSAN et SCHWARZ,Hud le spécialiste,Fantôme du Bengale, Johnny Hazard,bandes dessinées de collections,

 

A ce moment là la mode des journaux de bandes dessinées était aux petits formats. Vous savez : les « pockets ». Alors par contraste vous le repériez au premier coup d’œil ce JOHNNY avec ses belles dimensions approximativemment 40 X 28 cm qui vous alertaient les rétines.

 

J’achetai.

 

Les séries BD présentées étaient presque toutes des anciennes, des traditionnelles disons. En première page, le Johnny Hazard signé de Frank Robbins.

 

- Johnny Hazard ! S’était exclamé l’ancien Préfet de Paris en apercevant l’illustration que j’avais affichée contre le mur de mon atelier. On aurait dit que cet officiel était content de revoir, sans s’y attendre, un ami disparu.

 

Il y avait aussi Brick Bradford, Raoul et Gaston, Alley Oop, sans oublier le Fantôme du Bengale, etc., etc. ... Et, tiens ! Tiens ! La Petite Annie. Une gamine sans cesse enlevée par de méchants vilains bandits qui ne cherchent même pas à savoir si elle porte un slip de coton blanc de marque « Petit Bateau » sous sa petite jupe.

 

Johnny Halliday, TOSAN et SCHWARZ,Hud le spécialiste,Fantôme du Bengale, Johnny Hazard,bandes dessinées de collections,

 

Ce journal de BD compte 24 pages. TOSAN et SCHWARZ en furent les deux promoteurs qui s’assurèrent le soutient d’un certain JOHNNY HALLIDAY, lequel venait de tenir le rôle de HUD Le Spécialiste dans un film-western spaghetti. (Ce qui explique le titre choisi pour ce journal BD hebdomadaire).  Malheureusement, le succès ne vint pas et il n’y eut que 7 numéros édités.

 

L’ancien sergent Smet mieux connu sous le nom de Halliday décédé en 2017 n’appartient pas à mes chanteurs populaires favoris. Je lui préfère Brel, Brassens et Aznavour. Même si je dois bien avoir parmi mon fatras quatre ou cinq petits 45 tours d’époque dont l’un nous fait entendre Johnny en duo avec Rita Cadillac, une blonde platinée à la mode américaine d’autrefois.

 

Bye ! Bye !

 

Doc Jivaro

 

15/06/2013

Les Tarzanides du grenier (n° 36)

Exception culturelle française, mon cul !

 

Exception européenne ! Exception pour une culture française ? La préserver malgré l'influence mondiale des États-Unis d’Amérique ?

 

En somme, prétendre protéger des Pieds Nickelés contre Jesse James, et Madame de Pompadour contre une fadasse Mary Poppins américanisée. Lorsqu'on affiche une telle prétention on ne commence pas par tolérer l'implantation de l’ogre Disneyland tout à côté de Paris ! Oui, oui, ça rapporte beaucoup de fric, on sait. Mais le résultat final chiffré c'est que ce fric va principalement enfler la tirelire de Mickey ! … Et que prostituer les exigences naïves de l'enfance pour faucher le blé dans les poches des parents, ce n'est pas du joli, joli.

 

Dites moi, aujourd'hui, vous fêtez les 70 ans de qui ? De Jean Smet ? Pas du tout. Jean Smet n’existe plus depuis le débarquement des g'is sur les rivages de Normandie. C'est Johnny Halliday. Johnny, pas Jean. C'est ainsi depuis que le jargon franglais oblige à trafiquer avec du show beez plutôt qu'à commercialiser avec du spectacle.

 

Madame La Ministre de la culture en fait l'aveu involontaire lorsqu'elle se dit toute contente d'être félicitée par un Steven Spielberg … Chère, trop chère Aurélie Fillipetti, être fière comme vous l'êtes des compliments d'un américain, c'est encore reconnaître la supériorité américaine.

 

Moi, j'apprécie pleinement le génie des États-Unis d'Amérique. Aussi vais je peut-être vous surprendre à mes dépens, estimant que les véritables révolutionnaires des débuts du XXe siècle ne sont ni Jean Jaurès ni même Lénine. Ce sont plutôt Rockfeller, Taylor et Keynes. Et pourquoi pas, aussi, les présidents nordistes Grant et Lincoln ? Voila deux types qui organisent le massacre des peuples chasseurs et guerrier amérindiens rien que pour faire de la place aux descendants d'esclaves africains ; et que tous les démocrates d'à présent applaudissent en se réclamant d'une « amitié entre les peuples ». Paradoxal, non ?

 

Vous savez, puisque vous parlez d'une « exception culturelle française » s'opposant aux goinfreries de l’Oncle SAM, alors parlons des quatre années d'occupation militaire allemande de la France. Durant cette période le Maréchal PETAIN et l'ambassadeur Otto ABETZ réussirent très bien à interdire toute présence artistique, littéraire et musicale yankee dans le pays de Voltaire et du Marquis de Sade. Pas vrai ?

 

Finalement, comment oser parler d'Exception Culturelle Française quand l'Islam étranger à nos mœurs fait construire partout chez nous des mosquées , et que cinq prières journalières en appellent non pas à Notre-Dame, non pas au Panthéon, non pas à l'Accadémie Française mais à la Mecque ?

 

________________________________________________________________

 

KALI

steven spielberg,johnny halliday,exception culturelle française,aurélie fillipetti

Le seul tarzanide de Bédé à cacher son zob sous un slip kangourou.

 

Pourtant ce Kali ne hante pas les savanes d'Australie et les aborigènes crépus lanceurs du boomerang ne sont donc pas ses ennemis. En fait il parcourt l'Inde colonisée par les anglais quoiqu'il n'y rencontre pas Winston Churchill, ce double WC bien utile aux lanciers du Bengale.

 

 

Doctor Jivaro

07/05/2009

Johnny Hallyday

JOHNNY

SON DERNIER SHOW

D'UNE DUREE DE 20 ANS ?

Johnny-Hallyday.jpg