14/04/2013
A tire d'Elles n° 65
- M'oui, je fais un peu tout à la demande.
Sauf la scato. Pour ces trucs là,
je reste aux abonnés absents.
Eh, dis toujours ce que tu veux ; t'en vas pas tout de suite !
15:51 Publié dans A tire d'Elles, Arts, Brèves du trottoir, Sexualité, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : prostitution, prostitution parisienne, prostitution populaire, sexualité, vie parisienne
A tire d'Elles n° 64
Encore un qu'à même oublié de refermer
sa braguette avant de sortir
15:50 Publié dans A tire d'Elles, Arts, Brèves du trottoir, Sexualité, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : prostitution, prostitution populaire, prostitution parisienne, sexualité, vie parisienne
31/03/2013
A tire d'Elles n° 61
Le train-train de deux jours, samedi et dimanche pour Lydia.
Puis lundi, repos. Le mardi aussi et idem pour le mercredi. Quant au jeudi, madame fait ses emplettes – le shopping comme on doit dire à présent. Je ne parle pas du vendredi : elle reçoit deux copines qui apportent le champagne et les derniers commérages sur la disparition programmée de la rue.
15:45 Publié dans A tire d'Elles, Arts, Brèves du trottoir, Moeurs, Sexualité | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : prostitution, strass, prostitution populaire, sexualité, moeurs, vie parisienne
A tire d'Elles n° 60
Rue de la Verrerie, aussi elle en a épongés
15:35 Publié dans A tire d'Elles, Arts, Brèves du trottoir, Moeurs, Sexualité, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : strass, prostitution, prostitution populaire, sexualité, moeurs, vie parisienne
25/03/2013
Dimanche 24-03-2013
Le socialisme
organise le mieux vivre ensemble
14:25 Publié dans Actualité, Dessin humoristique, Politique, Sexualité, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : manif 24 mars, non au mariage homo, opposants au mariage pour tous, sexualité, moeurs, famille
24/03/2013
A tire d'Elles n° 59
Je me tenais trop éloigné pour distinguer les paroles. Mais ça se voyait dans les mouvements du corps : le quidam sortait en lançant des menaces.
Une heure après, tout le monde semblant l'avoir oublié, le type revenait, serrant un objet dans sa main. Un couteau ! Il a un couteau ! cria quelqu'un. Les filles disparurent dans les couloirs, chaque porte se fermant derrière elles.
La police rappliqua.
Pierre, qui était un des videurs mais en berne cette nuit là, commenta : j'suis pas assez fou pour m'en mêler. Que cette Carole se démerde toute seule. Elle a trop souvent des grolles avec le client. D'ailleurs, ici, ce n'est pas mon coin.
Nous partîmes nous payer deux bières – pression - éventées, dans le grand café d'angle des rues Saint Denis et Réaumur, qui restait ouvert toute la nuit, sauf une heure pour balayer autour du comptoir.
Pierre expliqua qu'il avait trouvé un vrai boulot chez Mampower. Je me suis présenté en cravate, tu croirais pas.
Nous étions en 1971 ou 72. Je ne prévoyais pas que je ne reverrais plus Pierre pendant les décennies suivantes.
- Dans la vie, mon vieux, faut savoir où l'on va.
J'ai gardé cette parole dans l'oreille.
15:10 Publié dans A tire d'Elles, Arts, Brèves du trottoir, Sexualité, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : strass, prostitution, prostitution populaire, prostitution parisienne, vie parisienne, moeurs parisiennes, sexualité