Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

27/12/2011

Téhéran-Jérusalem

Judaïsme et Islam

même combat religieux

 sexisme,discrimination,Jérusalem,religion,Israël

 

Lysistrata

 

Mais nous avons aussi rencontré des femmes militantes féministes qui veulent voter des lois interdisant toute mixité homme-femme dans les espaces publics.

 

Elles m'ont agacé. Je leur ai conseillé de se résoudre à vivre dans les toilettes d'un hall de gare : il y a deux coins bien séparés, l'un pour le zizi, l'autre pour la foufounette.

 

Suite à quoi, dans mon jardin, pour m'amuser, j'ai rigoureusement séparé par une allée hérissée de chardons les roses et les choux.

 

Avec les melons ça a été beaucoup plus difficile. Depuis que j'ai été informé qu'existe des melons mâles et des melons femelles, je n'en cultive plus.

 

Par ce que, voyez vous, chaque nuit, autour de la maison, quand j'entendais des gémissements et des bruits furtifs je me disais : ce sont les chats et les chattes du quartier chaud.

 

Mais non, mais non ! C'était les melons.

 

Ryal

26/12/2011

Attitude citoyenne :

devenez actionnaire d'une entreprise

de  rouleaux  de  papier  essuie-tout

 

prostitution,prostitution populaire,prostitution parisienne,vie parisienne


Brèves du trottoir n° 29

prostitution,prostitution populaire,vie parisienne,sexualité

- Alors, content de ton voyage ?

18/12/2011

brèves du trottoir n° 28

prostitution,prostitution populaire,vie parisienne,sexualité

Une blonde


Une grande blonde pour les harengs noctambules.

Si ma vieille mémoire n'est pas trop défaillante, le boxon fut ouvert années 1975-76.

Avec ascenseur, s'il vous plaît !

Malgré que les clients préfèrent généralement monter à l'arrière de la gagneuse dans l'escalier. 

Brèves du trottoir n° 26

prostitution,prostitution populaire,vie parisienne,sexualité

Rue Saint Martin, début année 70.


Il y en avait une qui n'arrêtait pas de regarder l'heure tourner sur le cadran de son bracelet-montre.

Carole la narguait : plus tu les attends, moins ils viennent !

Certaines filles restent collées sur place des heures sans dérouiller. Pas plus moches que leurs voisines, elles n'attirent pourtant pas le chaland.

C'est l'ambiance : c'est le premier client qui mobilise le deuxième. Les clients attirent les clients.

C'est ainsi.

Il y a comme un relai masqué d'homosexualité auprès de la fille publique.

11/12/2011

Brèves du trottoir n° 25

 prostitution,prostitution populaire,vie parisienne,sexualité

Le client éprouva de la gène lorsqu'il m'aperçut assis plus haut dans l'escalier du troisième.

C'était presque midi.

Après avoir siphonné ce passager, Lydia allait prendre une ou deux heures de repos. Elle écarta le rideau de la fenêtre, ses yeux balayèrent la rue ... Le temps de repos dépendait de la fréquence du va et vient des bonhommes en bas.

J'avais apporté des sandwichs et trois parts de flan.

Elle en raffolait, Lydia, de cette pâtisserie. Elle n'en grossissait pas pour autant.