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26/06/2017

Insecticides, pesticides, homicides


Pas de printemps

pour MAYA L'ABEILLE

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02/06/2017

Cool L'oil de la mort

trump,pétrole,charbon,pittsburgh trump,accords de paris,effet de serre,réchauffement climatique

01/06/2017

La faute aux perturbateurs endocriniens

 

Nos enfants adultes
avant leur puberté
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24/01/2017

L' IVG pour libérer les cigognes

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06/01/2017

Canards et grippe aviaire : éleveurs et gaveurs

Surpopulation
et
concentration

Canards-grippe-aviaire.jpg

 

04/01/2017

Alertaucampus de Dijon

Etudiants vaccinés

contre la moutarde

 

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A l’attention de Bob,

 

 

Aucun petit mannequin pendu au plafond d’un des couloirs de mes écoles successives.


Par contre une des grandes fenêtres de la classe de « ceux du certif » était souvent retrouvée ouverte après les dix minutes de récréation. Elle donnait sur un jardin privé dans lequel on voyait deux pommiers énormes qui semblaient ne jamais cesser d’offrir des pommes fin septembre puis octobre.


Le propriétaire venait de temps en temps se plaindre à notre directeur, lequel de directeur disait à mon père qu’il connaissait depuis leur enfance : « c’est vrai quelles valent le coup pour faire des compotes ! ».


A la rentrée d’octobre 1951 (?) le jardin disparaissait, une maison s’achevait d’être construite pour le remplacer.


Comme quoi, il existe quand même tel ou tel voisin dont on regrette la disparition.