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28/09/2020

Trop souvent sur CNews à 17 heures

 

KARIM ZÉRIBI : 

 

Le français qui soumet la laïcité

comme bonniche de sa religion

 

Karim-Zéribi-CNews.jpg

23/09/2020

On n'est plus en mai 68

La D.R.H. de CHARLIE HEBDO 

 

en appelle 

 

aux cons et aux fachos

 

Marika-Bret-Charlie-Hebdo.jpg

16/09/2020

Y en a marre !!

Sous prétexte de tests 

 

LE PORNO 

 

envahit nos familles

en présence de nos enfants

 

REAGISSONS !!

 

 

Test-coronavirus.jpg

14/09/2020

Ce lundi "La Matinale", CNews

Le Grand Gourou

répond à Laurence Ferrari

cnews,laurence ferrari,abbé soury,coronavirus,covid-19,ihu méditerranée infection

 

12/09/2020

Tarzanides n° 448

 

 

Moi,-Tarzan-couv..jpg

 

 

Lorsque l'anglais Darwin énonça des liens de parentés entre le singe et l'homme, d'aucun s parmi ses contemporains préférèrent s'en moquer. Toutefois le plus grand nombre des civilisés s'en offusqua bruyamment. Les traditions religieuses refusaient tout héritage entre l'humain et l'animal. Mais voyez-vous, aujourd'hui, c'est un phénomène plutôt bien accepté chez nous que d'avoir pour ancêtre l'animalité, la génétique excluant le « chaînon manquant » qui longtemps servit d'argument à ceux qui veulent exclure toute animalité à quatre pattes dans le bipède pieds nus auquel ils attribuent une valeur métaphysique en le qualifiant « être humain ».

 

Le romancier E.R. Burroughs ne s’embarrassa d'aucune subtilité spirituelle lorsqu'il écrivit son roman TARZAN OF THE APES en 1914, inventant ainsi un homme fier d'être assimilé à un grand singe. Qui mieux est : un homme blanc. Plus fort encore si possible : un aristocrate : Lord John Greystoke.

 

Personnellement, je me fiche bien d'être comparé à un singe dans une conversation un peu vive et je ne vais pas porter plainte parce qu'un caricaturiste me fait grimper ou descendre d'un arbre mais je doute qu'une femme libérée accepte que je dise d'elle qu'elle est guenon lorsqu'elle singe l'homme dans ce qu'il a de moins brillant. Qu'en pense la monsieur Muriel Robin ? … AÏE !… J'ai retrouvé dans le numéro 227 de l'hebdomadaire TARZAN, année 1951, l'image que je vous présente ci-dessous.

 

 

BD-Tarzan,-27-01-1951.jpg

 

 

Comme quoi un homme comparé à un singe peut parfois régner sur des hommes.

 

Attention les yeux !

 

Doc Jivaro

 

05/09/2020

Tarzanides n° 447

 

L'exposition parisienne Picasso et la Bande Dessinée ne recevra sûrement pas ma visite. Deux raisons à cette dérobade : je ne loge plus dans Paris-Pourri ; je ne dispose d'aucune sympathie pour défunt le « compagnon de route » du stalinisme soviétique. Cependant je vous en fait librement l'aveu : à choisir entre les fausses demoiselles d'un vrai bordel d'Avignon en 1907 et le bain turc du violoniste Ingres, je choisis le harem ne serait-ce que pour en jouir de l’œil.

 

Picasso-fragment.jpg

 

 

Nos professeurs d’Écoles de Beaux Arts se fichaient complètement de la bande dessinée. En tout cas ceux que je connus. Ou alors ils se cachaient bien pour apprécier Buck Danny ou Red Ryder. Car a la fin des années 50 et début 60, il fallait ne jurer que par la peinture abstraite. Un type comme Michel Aragon prédisait la fin définitive de l'Art Figuratif.

 

Et Picasso ? Quel rapport entretenait-il avec le neuvième art, celui d'une BD qui maintenait au premier plan le rôle des personnages humains comme cela se pratiquait dans l'Art Classique ? Je me souviens avoir lu dans je ne sais plus quel journal, que le barbouilleur espagnol réfugié dans notre capitale, appréciait une série comique imagée et grinçante ayant pour titre : Krazy Kat. Celle-ci créée par Herriman dans un des journaux de Randolph Scott ... Pardon, je voulais dire Randolph Hearst, je ne la connue que très tardivement, mettons vers le milieu des années 60.

 

 

BD-Krazy-Kat-fragment.jpg

 

 

Ne vous occupez pas de mon dégoût pour ce Picasso d'Aragon et Duclos : si votre intention était de me donner un de ses dessins authentifiés, n'y renoncez pas. Je l'accepterai pour sa valeur marchande puisqu'à mon avis Picasso est un lieu de spéculation boursière, non pas un un artiste peintre exemplaire. Tout au plus serait-il plus clown qu'un UBU ROI, « merdre de merdre » ! De par sa chandelle terne. 

Doc Jivaro