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23/04/2020

11 mai : protégeons nos écoliers

 

LA DISTANCE DE SÉCURITÉ

coronavirus recommandations,covid-19,11 mai 2020,réouverture des écoles,fin du confinement

N.B : Hier, mercredi, Blogspirit a refusé

d'importer ou d'exporter des images et du texte.

 

21/04/2020

Déconfinement 1928

 

Allez-y : comptez le nombre de garçons et de filles sur les deux cartes-postales et vous aurez idée de la présence importante de la jeunesse dans l'école publique du petit village de Parsac département Creuse pendant l'année 1928.

 

Reconnaissons qu'un confinement pareil à celui que nous subissons aurait posé bien des

problèmes, non ?

 

Photo-école-Parsac-garçons.jpg

Photo--école-Parsac-filles.jpg

 

 

A ce moment là, en 1928 la langue française obligatoire n'empêchait toujours pas l'utilisation du patois traditionnel entre natifs, tant et tant qu'une vingtaine d'années plus tard quand je me rendais, enfant, au bon air campagnard, il pouvait m'arriver de ne pas comprendre de quoi certains adultes parlaient entre eux chez l'épicier. Un épicier que ma grand mère du lieu m'avait appris à nommer : le caïffa.

 

Dans le cimetière au sol pentu c'était pareil : les vieilles femmes conversaient dans une langue étrangère pour moi petiot « französe ». Elles étaient une bonne vingtaine à fréquenter la dernière demeure des morts, le dimanche. Chacune portait un arrosoir pour donner à boire à des fleurs dont elle venait de couper les racines : je trouvais ça d’un humour noir comme d'offrir un chapeau à Landru après son exécution.

 

Landru ? Vous avez apprécié j’espère le film réalisé par Chabrol en 1963.

 

Doc Jivaro

 

20/04/2020

Le capitalisme se piège ...

 

... croyant exploiter

la main d'oeuvre chinoise

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17/04/2020

20 heures, chaque soir

 

HOMMAGE COLLECTIF

à tous nos sauveurs soignants

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15/04/2020

Paris brûle t'il ?

 

Bar Zing avait oublié lorsqu'un message télévisé le rappela à la réalité : il y a un an, jour pour jour la cathédrale Notre Dame flambait dans le ciel de Paris.

 

Accident ? Attentat ?

 

"On s'en balek !" s'exclamait une des militantes de l'UNEF.

 

Il arriva à Bar Zing de se poser la question : Que faire des parties d'architecture restantes ? ... Restaurer à l'identique l'édifice ? employer des matériaux modernes pour aménager des surfaces publicitaires lumineuses et profiter d'un renouveau touristique ? Mais pourquoi ne pas consolider ce qui demeure et le laisser en l'état de vestige historique ?

 

D'autant que tout au long des siècles personne n'a osé la terminer, cette cathédrale : Il manque deux flèches, une sur chacune de ses tours. Les architectes et les religieux n'ont jamais cessé de lui ajouter et de lui retrancher, jusqu'à ce qu'un certain Viollet le Duc lui attribue un profil carnavalesque en lui greffant des gargouilles et des "démons" pour complaire à l'imagination des romantiques lunaires du second empire

 

Michel Ange méprisait l'Art Gothique dont il disait : "Ces gens là bâtissent des murs contre lesquels ils doivent s'adosser pour les faire tenir debout". Notre grand florentin n'aimait pas les contreforts ni les arcs boutants.

 

Oui, puisque à présent les promeneurs sont plus nombreux devant le crucifix que ne le sont les croyants, pourquoi ne pas entretenir comme dans un musée Notre Dame ainsi qu’on y entretient le Parthénon ?

 

Bar Zing

 

 

14/04/2020

Fils du peuple exploités par Macron

 

11 MAI 2020

Réouverture de l'école

 

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