Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

25/10/2016

La S.P.A. protège t'elle les bestes de scène ?

L'est le coq de Meaux,
l'est pas l'aigle copé,aubusson,kippa,voile,chocolatine,diaspora juive,reconquista 1492

  * Le caviar Beluga Tsar Impérial, mon préféré.

24/10/2016

"Jungle" dans Calais

Jungle-de-Calais.jpg

23/10/2016

Dimanche, jour du Seigneur n° 28

Jour-du-Seigneur-23-10-2016.jpg

 

Par avance, je devinai que ça tournerait mal cette idée de monter jusqu’au Boulevard de Courtais acheter le costume de communion. Alors que pour les hommes nous avions nos habitudes vestimentaires à la « Petite Fabrique », rue de la République. Une boutique d’apparence modeste, donc pas dotée d’une vitrine aussi grande que celle de même enseigne que je vis à mon retour dans la Cité de Marx Dormoy.

 

 Ma sœur de lait de la rue Championnet m’avait prévenu, moins pour m'épargner une déception que pour se protéger, elle, d’éventuels ricanements de ses petites copines :

 

 - Pas question que je me trouve à côté de toi dans l’allée centrale comme si nous étions mariés, lorsqu’on va aller devant l’évêque.

 

 Cause toujours, ma binoclarde !

 

N’empêche qu’après mille hésitations elle me l’avait montrée sa foufounette.

22/10/2016

Les Tarzanides du grenier n° 231

 

Dupuich … J. M. DUPUICH. Ce nom n’a pas laissé un tatouage marqué dans notre mémoire relative aux bandes dessinées. Nous lui devons pourtant un des titres les plus attractifs mis en vente par l’Éditeur Artima-Tourcoing : JIM OURAGAN.

 

BD-Jim-Ouragan.jpg

 

 

D’abord imprimé sur un format rectangulaire allongé, ses premiers exemplaires ne comptent que huit pages au numéro et ne comportent pas de date de parution. Tout au plus apprenons-nous qu’ils sont imprimés en France et vendus au prix unitaire de trois francs en Belgique. C’est l’atmosphère Western. Nous étions en 1948-1949 … JIM OURAGAN (accompagné de Youpi, bon gros chien chien) était publié tous les jeudis mais sans que ses aventures soient « à suivre » semaine après semaine. Sa huitième page mettait un point final à chaque épisode. Cette formule appelée « récit complet » obtenait un vif succès pendant la seconde moitié des années 1940.

 

Délaissé jusqu’en 1954, JIM OURAGAN réussit un retour en force grâce au talent archi-rodé d’un Eugène GIRE dont les anciens jeunes abonnés du journal VAILLANT gardent sûrement le souvenir d’une sympathique bande d’ahuris hébergés dans « La Pension Radicelle ».

 

Cette deuxième série JIM OURAGAN sans changer d’éditeur changeait de format, massiquotée 23 cm en hauteur, 17 à l’horizontale. Un format astucieux, pas du tout hasardé puisque de telles dimensions correspondaient approximativement à celles, réglementaires, de nos cahiers d’école. Elles nous permettaient de dissimuler la présence d’une bande dessinée entre des pages consacrées au calcul primaire nécessaire à l’obtention du Certificat d’Études.

 BD-et-Cahier-d'écolier-Montluçon.jpg

 

Glissé à l’intérieur de la scolarité, 
le numéro 15 de JIM OURAGAN en mars 1956.

 

Gire fut l’un des bédéistes inépuisables des années 50. Les connaisseurs apprécient de lui et pour Les Éditions Mondiales un « ZORRO et ses LEGIONNAIRES ». Il illustra aussi un Tarzanide à peau brune oublié d’un peu tout le monde mais pas de Doc Jivaro : BATOUK (Éditeur : Duclos).

 

Gire, disparu en novembre 1979, parlait quelques fois de ses travaux BD comme s’il ne s’agissait que de « gribouillages ». Cette manière faussement modeste de dévaluer son propre talent, n’était pas non plus étrangère à un Alain Saint Ogan. Celui-ci utilisa parfois le terme de « couillonnades ». Mais il reprenait ainsi, et pour le réduire à zéro, le jugement négatif qu’un Ludovic portait sur l’esprit de l’auteur de ZIG ET PUCE. Ludovic, c’était le bonhomme qui se chargeait de faire semblant de faire le ménage dans le logement de Saint Ogan.

 

Moi, étant mioche, lorsque je griffonnais de petits personnages, ma mère se contentait de dire : pousse tes papiers plus loin sur la table, tu me gènes pour repasser en vitesse la chemise de ton père.

 

 

Doc Jivaro et Mfcl

 

21/10/2016

Affaire Omar-Ghislaine : 25 ans après ...

 

... un indice nouveau

relance   l'enquête

 

Omar-m'a-tuer.jpg

20/10/2016

Ses cils tournent de l'oeil

Coulée à pic

DUFLOT

ne donne aucune consigne de vote

Cécile-Duflot.jpg

 

On ne juge plus simplement un mec jaloux qui tue sa femme le cocufiant … On juge des terroristes se réclamant d’une religion qui, depuis son origine, se comporte en guerrière ennemie des civilisations autres que la sienne.

 

Il n’est donc que temps pour nous d’abolir la loi Badinter relative à la peine de mort, ainsi que les loas d'une Taubira.