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25/06/2009

23 juin 2009

LA SEULE BOUTIN DU GOUVERNEMENT

QUITTE LA CHAMBRE ...

Christine-Boutin.jpg

 

24/06/2009

King Kong

King-Kong.jpg
Pour notre soirée du lundi 22 juin, ARTE promettait la « version intégrale » de KING KONG,
film daté 1933.

 

Mensonge.

 

Ou erreur.

 

Et d'abord, faut s'entendre : lorsqu'une œuvre est annoncée intégrale n'est ce pas un contre sens de la présenter comme « version ».

 

Quoiqu'il en soit, ARTE ne nous a imposé qu'une version incomplète. Et dans ce cas, au bon vieux temps des caméras à manivelle, le projectionniste s'affolait, s'exclamant : Il manque la première bobine !

 

Car le seul vrai scénario de KING KONG débute par la fuite d'une petite voleuse occasionnelle. Une mendiante ayant chapardé une pomme sur un étalage et qui n'échappe à une correction qu'en acceptant de s'embarquer comme actrice pour une île aussi lointaine que mystérieuse, présage à moult dangers.

 

La pomme, objet du larcin, n'est pas du tout négligeable pour la compréhension du thème filmé. La société américaine très marquée par la mythologie judéo-chrétienne, cela par redondance de notre déjà vieille société européenne, interprète la pomme - simple fruit - en tant que symbole originel d'une sexualité humaine FAUTIVE devant le dieu d'Israël. Or, il s'agit bien d'une trame sexuelle qui sous tend l'histoire de l'instinctif gorille géant arraché à son île-paradis et qui va finir mitraillé (assassiné ? ) à cause d'une passion amoureuse pour une jolie fille affectée d'un « ça » refoulé par la civilisation.

Fay Wray .jpg

Contrairement à Tarzan souvent indifférent à l'attrait érotique des jeunes filles,

KING KONG, lui, joue franc-jeu.

Déshabillant sa captive épouvantée, le bel animal va jusqu'à en renifler les dessous de vestale vagabonde.

En 1954 la censure américaine eut la mauvaise idée de supprimer cette séance d'effeuillage

érotique pourtant atténuée par une ambiance humoristique.

 

Le film complet est d'une durée de 100 minutes.

 

Je ne l'ai vu en totalité qu'une seule fois, en 1965 et dans le cinéma Le Champollion, si j'ai bonne mémoire. Oui c'est ainsi : à Paris, quartier Latin. Cette salle assez petite par son espace fut longtemps spécialisée dans la reprise de films datant d'avant et pendant la seconde guerre mondiale.

 

 

Malgré ou à cause de l'hostilité manifestée par les doctrinaires religieux, KING KONG influença toutes les sphères de la création culturelle. En France artistes et écrivains surréalistes débattirent de ses qualités. Les psychanalystes et leurs assimilés s'en donnèrent à cœur joie. L'inclassable Boris Vian s'en enthousiasma (soit dit en passant la médiathèque montluçonnaise du même nom que l'auteur de « L'écume des jours », nous étonnerait en mettant en place une exposition sur le phénomène qu'on surnomma par plaisanterie « le beau ténébreux ». Je parle de King Kong, bien sûr).

 

La BD française, elle même, pendant l'année 1948, publia un hebdo de huit pages et de treize numéros, ayant pour titre KING KONG. A ce sujet, je signale posséder une reliure KING KONG à dos verdâtre, groupant onze numéros et dans laquelle se trouve le numéro 2 (alors que le BDM 2009-2010 semble ne connaître qu'une reliure à laquelle manque ce numéro 2).

 

RYAL

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Dessin de Hogarth, 12/7/1942 (vignette réduite sur sa longueur)

Forcément Tarzan ne pouvait pas faire autrement que de rencontrer des gorilles titanesques plus ou moins imités de KING KONG.

Ici le fils de Kala la femelle risque sa peau en affrontant, sur le fuselage d'un bimoteur lancé en vol, une créature formidable, poilue comme les mille castors de Bleck le Roc

23/06/2009

Emprunt d'état

Emprunt-d'état-Sarkozy.jpg


22/06/2009

Sarkozy à Versailles

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21/06/2009

Fête de la musique, fête des pères

Fête-de-la-musique.jpg


20/06/2009

Déni de grossesse

La dernière roublardise à la mode

LE DENI DE GROSSESSE

Déni-de-grossesse.jpg

J'espère que vous êtes comme moi, que vous n'avez pas bien compris cette histoire de "déni de grossesse" ; et qu'ainsi je peux me sentir moins seul et moins sot.

Moi, la viande que je range dans le congélateur c'est avec le projet de la manger. Un enfant mort né puis mis à congeler c'est  comme une conserve et, ma foi, on peut toujours s'illusionner de l'avoir mis en état d'hibernation. Donc, follement, s'imaginer le retrouver vivant à la prochaine belle saison.

Mais le mari, là dedans ? De deux choses l'une :

Ou bien lui ou bien sa femme utilise des méthodes contraceptives ; et pas question d'être enceinte.

Ou bien pas de contraception et l'épouse se prépare à être enceinte compte tenu qu'elle sait  n'être  pas naturellement stérile. Or, pas de grossesse  en vue, selon ce qu'en dit la femme. Mais alors comment le mari fait-il pour ne pas s'étonner de la permanence du ventre plat de son épouse ? d'autant qu'être enceinte s'accompagne de symptômes bien connus : absence de menstrues, etc. etc.

Enfin, bon, je sais que beaucoup de maris sont trop préoccupés en dehors du foyer conjugal et n'ont plus le temps de savoir ce qui se passe dans la maison familiale.

Mais je viens d'avouer n'avoir pas bien compris cette histoire ...

Eclairez-moi SVP.

 

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