03/08/2018
Orly soit qui mal y pense
Comme vous et moi
ils vivent en France
Tous deux incarnent
l'avenir de l'Europe
Aidons les
à vaincre la xénophobie
et l'Islamophobie
11:07 Publié dans Actualité, Arts, Dessin humoristique, Justice, Musique, Politique, Religion, Société | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : booba, kaaris, orly, bagarre dans orly, rap, musique
Commentaires
les gendres idéal je regrette de n'avoir qu'une fille ! ! !
et en plus le mercurochrome ne fait pas trace sur les noirs !
C’était vraiment "tu vas voir ta gueule à la récré."
Écrit par : bob | 03/08/2018
Répondre à ce commentaireTu sais bien l'origine de ce qu’ils appellent le RAP : C’est le Bronx. Et il y a quelqu’un qui s’en souvient du Bronx c’est Jean-François Kahn.
Bonne idée de m’avoir parlé de Bicot, bande dessinée ! Mais en ce moment le grenier des Tarzanides n'étant pas climatisé c’est comme un four allumé pour la boulange. J’ai donc renoncé à chercher des reliures du DIMANCHE ILLUSTRĖ (1930) dans lesquelles Suzy (la jolie grande sœur de Bicot) se promène en tenue légère.
A bientôt ami Bob.
Écrit par : Ryal à Bob | 03/08/2018
Répondre à ce commentaireAttends l'hiver pour sortir Suzy ce qui la fera grelotter et donnera plus de charme à sa petite tenue
Si tu as trop chaud Parle nous de"Capitaine Igloo"
Dans tes archives tu dois aussi avoir des pubs d'époque (réclame)
Il y a du avoir des dessinateurs de BD qui ont du faire bouillir la marmite à se commettre dans la bavasse commerciale
Bonjour à BERTHON que je ne connais pas mais qui doit être sympa puisque Christian le connais
Écrit par : bob | 03/08/2018
Répondre à ce commentaire"sympa" certes, mais toujours dans le"camp du Bien". Pas le genre Buster Brown.
Écrit par : berthon | 04/08/2018
Répondre à ce commentaireLe bob au confins de sa campagne ne connaissait pas Buster Brown.
merci de parfaire à mon éducation mais pour moi les BD je n'y accédais qu'épisodiquement.
dans mon collège c’était la vie des saints, Biggles l'aviateur ou les histoires de patrouilles scoutes.
Le pensionnat qui cherchait à me polir l'esprit et le cuir avait inscrit presque d'office la moitié de la chambrée comme scouts marins (la proximité de la méditerranée avait inspiré nos directeurs de conscience (pas d'allusions à du bourrage de crane)
scout marin un jour scout marin toujours sauf que à la première sortie à la suite d'une manœuvre mal comprise nous drossâmes l'embarcation sur un rocher affleurant. Nous ne sauvames que les bérets à pompon .
les jeudis passèrent alors à la confection d'une pirogue en découpage avec des rameurs noirs et musclés et un missionnaire blanc dans une sorte de baldaquin
Voila mes exploits.
Écrit par : bob | 04/08/2018
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