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17/05/2018

Jeudi 17 mai 2018

Ramadan.jpg

N'en crevons nous pas à petit feu d'être démocrates ?

Commentaires

moi pendant le ramadan je déambule avec une boite de loukoums à la main et j'en propose à tout les musulmans que je croise ! ! !

Écrit par : bob | 17/05/2018

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chapeau ! le costume du croyant de dos est typique de vérité ce gazier me vendait des olives cassées et des poivrons au vinaigre au marché de la Lyre à Alger.
que de nostalgie il ne manque que l'odeur de graillon de mouton et la musique arabe pour avoir la totale.
Paroles traduites :
je regarde par la fenêtre...
les cœurs: — Elle regarde par la fenêtre hamdoula àà
Le marchand d'eau va passer
Le marchand y va passer avec son outre de chèvre houlala
je crois qu'il va me regarder
Il va pas la regarder halala halala celle qu'il va regarder
c'est la houri d'à côté
(vingt minutes de chant )
Elle referme sa fenêtre
Les cœurs : dans sa chambre elle va pleurer !!!
la soupe elle a oublier ! son mari va la rosser
fin

Écrit par : bob | 17/05/2018

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Les jeunes et le Jeûne.

Entré dans une grande enseigne d’alimentation, place d’Italie, je venais de poser mes quelques achats sur le tapis roulant. La caissière de type nord africain m’adressa un « bonjour monsieur » mais, de la main, fit un geste d’appel à l’attention d’une personne en attente derrière moi.

Un enfant teinté dépassa l’obstacle que j’étais pour lui, et tendit un paquet de gâteaux secs qu’il paya en petite monnaie.

La caissière pensa devoir expliquer : « C’est Le Ramadan. Il doit avoir faim et mange en cachette de ses parents avant de retourner à l’école ».

Une toute jeune adhérente dans mon atelier de bandes dessinées du début des années 1990, se prénommait Marie.

– C’est nul ! qu’elle protestait. Je vous demande d’écrire Marie avec un igrec à la fin : Mary. J’insiste : MARY.

Cette demoiselle entrait dans sa treizième année et se montrait assez douée pour tracer des « petits guignols ». Elle gardait toute une collection de vignettes politiques signées de Plantu qu’elle découpait dans Le Monde.

– Dans notre classe les autres n’en connaissent pas aussi long que moi me disait-elle, tout en me demandant ce que je pensais de la fatwa lancée contre Salman Rushdie.

Et elle me sortit un mot amusant  : « Quand le tchador les Houris dansent ».

Ryal

Écrit par : Ryal à Bob | 20/05/2018

sacré Ryhallal (bientôt )
nous vivons une époque formidable où le caviar coule dans des gosiers grossiers, le cigare est fumé par des petites frappes qui veulent passer pour des al chaponne
les cigales se régalent au dépend des fourmis harassées de taille et de gabelle
Le sud veux sa revanche contre un nord azimutè
La suite en mail.

Écrit par : bob | 21/05/2018

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