03/01/2018
Jours anciens, anciennes nuits
Pour suppléer un tantinet à la vue défaillante de Bar Zing, l'ami Bob conseille d'utiliser d'anciens petits dessins « gardés sous le coude » sans avoir été jamais édités.
En voici un.
Les cheveux longs et le pantalon pattes d’éléphant du jeune hareng indiquent assez bien les années pendant lesquelles le quartier parisien des Halles tournait à plein rendement.
N’empêche ! Bar Zing aurait dû choisir un autre thème !
Mouais ! il aurait pu présenter une des illustrations réalisées pour l’épisode :
MARTINE
Chez les bonobos
16:28 Publié dans A tire d'Elles, Aux bonnes heures des dames, Blog, Brèves du trottoir, Moeurs, Sexualité | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : vie parisienne, les halles de paris, martine chez les bonobos
Commentaires
Cher ami votre dessin m'a fait penser à un texte d'autrefois j'ai pensé que la dame se nommait Ursule...
Ursule
Dans sa jeunesse ma tante Ursule
Collectionnait les boutons de braguette
Que des messieurs forts empressés
N’avaient pas l’ temps de dégrafer
Sa collection elle m’a légué
Comme un trésor qui fait rêver
Ils dorment la dans d’un carton
Fruit de tant d’émotions
Le soir venu elle les comptait
Leur donnant à chacun le nom
Du propriétaire oublieux
Qui avait perdu ce trophée
Dans sa jeunesse ma tante Ursule
Collectionnait les boutons de braguette
Que des messieurs fort empressés
N’avaient pas l’ temps de dégrafer
Moralité
Avec le temps ne reste de nous que les débris de nos passions
Écrit par : bob | 04/01/2018
Répondre à ce commentaireA Bob,
Jolie tournure de ton poème.
À chacun ses collections.
Ma femme — Marie-France — est une mordue d’informatique. Étant donné ma pauvre vue en ce moment, c’est elle (ma femme) qui teste ton logiciel qui devrait me permettre de mieux gérer les textes à lire ou à écrire. Merci beaucoup pour ton aide.
A bientôt.
Écrit par : Ryal à Bob | 05/01/2018
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