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22/05/2025

Attal scandalisé

Et c'est vrai les Frères Musulmans 

poussent le bouchon trop loin

Frères Musulmans et le portr du voile.jpg

21/05/2025

Par les temps qui courent ...

... dialoguons avec 

les Frères Musulmans

frères musulmans,me too,attal,voile islam espace public

 

 

11/05/2025

Tarzanides n° 638

CECI N’EST PAS UNE PUBLICITÉ

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« Vache qui rit » = Walkyrie. Facile jeu de mots en patois français. Et qui se fit répétitif dans un grand appartement parisien aménagé en atelier de création de costumes de théâtre.

 

- Quel théâtre ?

 

Le TNP.

Wilson, récemment nommé directeur en 1963, confiait à notre équipe le soin de préparer les costumes en vue d'une répétition générale qui allait se tenir à Chaillot. La pièce jouée venait de Gorki Maxime : Les Enfants du Soleil.

 

Un titre émerveillé d’espoir pour un auteur qui allait se suicider.

 

- Pourquoi aviez-vous participé à ce projet ?

- C’était simple : la personne qui tenait lieu de patronne était la sœur d’un de mes beaux frères et comme l’argent n’alourdissait pas mes poches … vous comprenez que je ne manquais pas  une telle occase.

- Mais alors comment était venue la Walkyrie et la Vache qui rit en remplacement humoristique des traditionnels bonjours et bonsoirs  ?

- Tout simplement parce que le compagnon de la dite patronne était un grand garçon émigré d’Allemagne. Il se racontait même de lui qu’il avait participé aux Jeunesses Hitlériennes vers la fin de la guerre.

- Alors en absence du gaillard qui épluchait les pommes de terre dans un petit local baptisé cuisine, nous avions adopté le jeu de mots bien connu entre les fameuses portions de fromages fondus et les filles de Wotan-Wodan.

 

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Qui dit Walkyrie dit chevauchée. Ci-dessus j’ai remplacé les croqueuses wagnériennes de cadavres humains  par deux cavaliers sortis d’une bande dessinée des années 1950.

 

Lorsque j’étudiais dans l’École des Beaux Arts de Bourges, Place Jaude, j’ignorais que le dessin de la Vache hilare sur la familière boîte circulaire était un dessin signé RABIER. Nous étions presque tous et toutes dans cette ignorance. Me semble même me souvenir que c’etait un prof nommé Bignolas qui nous apprit l'identité du graphiste de la Vache pas sérieuse. Mais il faut surtout garder eb tête que dans les anciennes écoles de Beaux-Arts, vieilles de plus d’une cinquantaine d’années, la bande dessinée n’était pas du tout reconnue, comme valeur artistique. par les messieurs-dames nostalgiques des platitudes du dessin accadémique.

 

RABIER, décédé en 1939, fut surtout célèbre par ses silhouettes d’animaux campagnards qu’il rendait sympathiques en leur prêtant un sourire acceuillant. Le plus fameux des bêtes à plumes était GÉDÉON, le petit canard. J’écris bien « canard » et non pas un autre mot interdit aux enfants pendant la prière du soir.

 

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Rappelons que le succès de RABIER était aussi un succès auprès des parents, des grands parents, des adultes oncles et cousins tout heureux d’offrir en cadeaux à leur progéniture des albums illustrés par l’artiste né berrichon en 1864.

 

Il n’est pas inutile de signaler que la période de Rabier coïncide avec la fin de la désertification des campagnes en France, les jeunes fils de paysans allant se faire embaucher prolétaires salariés dans les z’usines nouvelles où il faisait si bon respirer les fumées métalliques et avoir les oreilles cassées par le raffut ambiant. De tout ça on se consolait avec la nostalgie du « bon air à la campagne », ce qui rendait d'autant plus sympathique le talent de Pépé RABIER.

 

Souvenez-vous : La nostalgie d’une vache qui pond son omelette matinale.

 

Doc Jivaro

 

21/04/2025

En angle de terre, il y a 2 jours, le samedi 19 avril

Des milliers de fils 

de la perfide albion

apportent leur aide aux transgenres

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Étant t’enfant, c’est le fils du dernier maréchal ferrant du bourg de Chenérailles en Creuse qui m’apprit le petit jeu de mots suivant :

 

- Le Pape est mort. Un autre Pape est appelé à régner. Araignée. Araignée ? Pourquoi pas abeille ou libellule ?

 

Le Pape François vient de s’éteindre parmi tout un champ de cierges allumés.

20/04/2025

Tarzanide n° 636

 

MAMAN, LES PETITS BATEAUX

 

 

En ce moment Drive-In Movie Channel vous propose de voir ou revoir si vous êtes centenaire une petite actrice en herbe de l’ancien cinoche américain : Shirley Temple.

 

Petite par son âge de fillette tripotée sous prétexte de mise en scène par tout le personnel d’Hollywood, mais grande par sa renommée sinon mondiale tout au moins occidentale.

 

Shirley naquit en 1928, demoiselle fille de banquier (aucun enfant est parfait), et dès sa ,sixième année, vu ses talents précoces, fut prise en mains (!) par le star-system américain dominant alors toutes les dites « salles obscures » du monde. D’où succès phénoménale pour Shirley, télévision comprise. En somme la coqueluche d’une Paix en temps de guerre.

 

L’Angleterre participa avec un film intitulé en français PETITE PRINCESSE, année 1939.

 

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Année 1939, collection Hachette

 

« Plutôt cucul la praline » disait mon père en parcourant le livre cartonné que l’éditeur HACHETTE avait sorti pour faire écho au film. Pauvre Shirley – Sara : son papa, officier anglais, trouve la mort dans la guerre du Transsval en Afrique. Par la suite la gentille Shirley Sara devient la victime d’une méchante puisque jalouse Miss Méchin. Pas la fée Carabosse mais une mémère cornue.

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Pardonnez l'inversion !

 

Bien entendu les bandes dessinées ne restèrent pas sans être influencées par le jeu de la charmante Shirley Temple, d’autant moins que les lecteurs et lectrices les premières histoires en images, suivaient déjà les aventures d’une gamine orpheline prénommée Annie. En France cette pauvre mais dégourdie petite Annie avait trouvé refuge sur la huitième page du Journal de Mickey, dès le numéro 1 de 1934 publié à l’initiative d'un Paul Winkler mais forcément avec l’autorisation de Walt Disney. Celui-ci veilla constamment à tous les grains de sa basse-cour.

 

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Mickey, n°1, 1934

 

Célébrité jamais égalée dans son domaine Shirley Temple allait donner naissance à toute une série de spectacles destinés aux familles dans les pays les plus développés économiquement : défilés de vêtements pour fillettes, prestations de coiffures, concours de danse juvénile etc., etc. Les papas et mamans étaient absolument ravis : les applaudissements destinés aux fillettes, maman les prenait pour elle. Maman s’était donné tant de mal pour que sa petite morveuse ressemble à une pin-up.

 

Jusqu’au jour où, en France, éclata un scandale : Celui des Ballets Roses. Quelqu’un ou quelqu’une avaient parlé, dénonçant les beaux quartiers.

 

Un homme politique très, très important, aurait dû s’exclamer : Le bras m’en tombe ! On se laissa à dire qu’il s’agissait d’un vrai manchot, vrai patriote : Le Troker.

 

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Bon coup de ballet !

 

Et pour mémoire rappelons que Wagner (Richard) éloigna de son Opéra « Chevalerie de Thulé » le corps de ballet. Rose ou pas rose. Les messieurs bourrés de fric iraient satisfaire leurs caprices érotiques ailleurs.

 

 

Bar Zing

 

19/04/2025

Vendredi jour d'Aphrodite

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