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27/09/2011

Jour de grève

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C'était dans Montluçon, quartier de Beaulieu.

 

Ni le jeudi, ni le dimanche. Ni pourtant une période de grandes vacances. Mais absence d'école, ce jour.

 

Anciennes les années : 1950 ? 1951 ?

 

Nous nous amusions au ballon.

 

Un pauvre vieux tenant à peine sur ses jambes désossées, nous cria de le lui envoyer, le ballon. Vlan ! Le ballon s'envola par dessus la rue, mais l'ancêtre en manqua le rebond et tomba à la renverse, le pied dans le ciel

 

Nous en riâmes.

 

Cependant, comme notre géronte ne parvenait pas à se relever, nous allâmes tout de même l'aider … Il ria à son tour de toute sa belle mâchoire vide de dents dedans.

 

C'était rigolo.

 

Puis il continua son chemin de croix – je n'ose dire sa route – tout en racontant que nous n'étions que des maladroits, que nous avions tapé de travers dans le ballon, etc. etc.

 

« Il a encore bu de trop ! » s'exclama je ne sais plus quelle voisine sortant de l'épicerie.

Voilà le souvenir simple d'un jour où l'école avait inhabituellement fermé ses portes. Pourquoi ? Peut-être à cause d'une grève décidée par nos geôliers du Corps Enseignant.

 

C'était chouette !

 

Ylar

13/07/2011

Air Algérie :

Une grève empêche toute une population algérienne de sortir de France

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30/01/2011

Des CRS ...

... s'infligent une grève de la faim

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26/10/2010

Bernard Thibault la déprime

GRÈVES : ÇA DÉBANDE MOU

Grèves-octobre.jpg

 

06/09/2010

La rentrée c'est raté !

VACANCIERS ET GRÉVISTES

MÊME COMBAT

Vacanciers-et-grèvistes-même combat.jpg

 

24/04/2010

La SNCF habituée des pannes

Hier, vendredi 23, aucun dessin pour Bar-Zing.

 

Explication : tôt, dès l'aube, nettoyer l'appartement, boucler les valises, dire au revoir... et quitter Paris.

 

Quitter Paris ? M'ouais, mais pas en voiture. En traineau ferrifère SNCF. Et alors ? Et alors en gare d'Austerlitz le train de 8 H 56 était supprimé par un dernier quarteron d'acharnés grévistes (quand bien même sur le web le convoi était signalé comme circulant normalement). Puis, celui de 12 H 10, à son tour, n'apparut pas à l'affichage.

 

A fallu patienter jusqu'à 17 H 16.

 

Du coup, ma légitime et moi avons perdu 9,50 euros en utilisant la consigne automatique.

 

Mais « Que faire ? » se demanda Lénine, lequel interdisait toute grève sur les chemins de fer de l'URSS.

 

Nous sommes retournés errer boulevard Saint Michel, anciennement Quartier Latin et actuellement quartier de fringues imprégnés de mal-bouffe malodorante.

 

Le cinéma LE CHAMPO proposait « Les dimanches de Ville d'Avray », film années 60, ayant pour sujet une des fréquences sexuelles de l'espèce humaine : la pédophilie. Pour ce que je me souviens, le scénario s'évita une censure en présentant l'adulte sous l'aspect d'un personnage attardé mentalement.

 

C'est après la dégustation de 4 glaces à la vanille et chantilly, que nous avons rejoint le quai des départs et arrivées grandes lignes.

 

Notre voyage jusqu'à Montluçon s'est déroulé d'autant plus tranquillement que le contrôleur SNCF n'a contrôlé aucun titre de transport.

 

Rien que pour dire qu'une fois revenu dans la ville du Père Coulon, je n'ai pas eu l'envie de terminer par un dessin aigre-doux toute cette journée d'amertume.

 

YRAL