27/11/2022
Tarzanide n° 541
LOLA
Dans le XIXe arrondissement parisien, un hommage vient d’être rendu à une jeune fille française torturée pour être assassinée par une algérienne obsédée sexuelle illégalement présente dans le pays du Maréchal Bugeaud. L’enfant se prénommait LOLA.
J’espère ne choquer personne en écrivant que le prénom de la jeune victime m’a remis en mémoire le titre d’un livret écrit et illustré pour distraire les enfants. Il s’agit des mésaventures d’une girafe géante prénommée LOLA ; livret édité en 1945 par les éditions WILLEB, celles-ci actives depuis 1900 et finalement disparues en décembre de l’an 1988.
Racontée et dessinée par Mireille Pradier, l’histoire fantaisiste offre un exemple rare : son titre placé tout en bas de l’illustration de couverture. Il est probable que les pérégrinations de Lola furent inspirées par le voyage bien réel, lui, d’une girafe africaine que MEHEMET ALI offrit en cadeau en 1827 à notre Roi Charles X. L’animal fit sensation en parcourant à pattes la distance de Marseille jusqu’au Jardin des Plantes de Paris. Tout au long de son parcours certaines auberges et restaurants adoptèrent alors l’expression « A la girafe » en guise d’enseigne. Par la suite, toute une littérature populaire se fit, ainsi que le montre le journal Le Petit Français illustré daté du 4 juillet 1903.
Dans le livret LOLA destiné aux enfants on peut constater que la censure permettait de suggérer la nudité totale d’un personnage dessiné à condition de recourir à une astuce picturale : noircir entièrement la silhouette du personnage et pas uniquement lorsqu’il s’agissait de représenter un négrillon. Attention : il existe aussi une mode « Négrillon » pour ce qui concerne certaines robes élégantes portées par des bourgeoises de l’ethnie blanche à l’approche des années 20 (c’est ce que me rappelle mon épouse ancienne chargée de recherches documentaires pour le Palais Galliera).
Souvenirs, souvenirs : le petit bouquin LOLA me fut donné par une de mes petites voisines de mon âge vers mes sept ou huit ans. Je viens oh ! surprise de remettre la main dessus je l’avais conservé dans ma bibliothèque désordonnée dont le plafond est soutenu par des piliers formés de livres superposés.
Doc Jivaro
16:19 Publié dans Actualité, Blog, Grenier de la BD, Histoire, Journaux, Société, Tarzanides | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : lola, girafe lola, le petit français illustré 1903, lola éditions willeb 1945, charles x girafe africaine, tarzanide du grenier, mehemet ali
25/11/2022
Invectives, menaces ... vos députés indigestes
16:14 Publié dans Actualité, animaux, Blog, Dessin humoristique, L'avis des bêtes, La vie des bêtes, Moeurs, Politique, Société | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : olivier serva, yaël braun-pivet, aymeric caron, corrida, la vie des bêtes
23/11/2022
Adieu, veaux, vaches, cochons …
CORRIDAS
A propos de la corrida, mon épouse vient de dire : Le combat entre le taureau et l’homme se déroule dans un espace clos construit par l’homme et auquel il est habitué. Mais pourquoi l’affrontement ne se déroule t-il pas dans un champ, un terrain de pâturage dans lequel le taureau se sent à ses aises ? Ça donnerait moins l’avantage au toréador.
Bar Zinc n’a jamais assisté à une corrida. Il n’en connaît que des représentations picturales, voire des séquences cinématographiques.
MITHRA
Avez-vous entendu parler de Mithra ? C’est un dieu antique d’origine indo-européenne représenté généralement occupé à mettre à mort un taureau. Toutefois, un détail dont la signification échappe encore aux spécialistes : la présence d’un scorpion piquant les testicules de l’animal. La religion de Mithra fut importée dans le monde latin par les légionnaires romains environ un siècle avant l’arrivée, toujours grâce aux guerriers conquérants païens, du judéo-christianisme, lequel ne manqua pas de calomnier comme satanique Mithra afin de le faire disparaître de la mémoire occidentale.
Pour ma part, il m’arriva de voir l’abattage d’animaux dans les anciens abattoirs à Montluçon. Quand j’écris « voir », je me comprends : je fermais les yeux quand la masse frappait la tête de l’animal … Il y avait tout un langage chez les tueurs : si la bête dirigeait son regard vers le bourreau, quelqu’un criait : Elle t’aime ! … Il faut savoir que de l’autre côté de la rue il y avait un bistro et qu’ainsi les bonshommes n’étaient jamais à jeun, jamais à sec pendant leur boulot d’égorgeur. Je me trouvais là-dedans avec mon oncle boucher-charcutier qui tenait son commerce dans le village de Saint Sauvier. Comme tous les autres bouchers la loi lui avait ôté son droit d’abattage des bestiaux qu’il achetait chez les paysans de la région. Cependant mon oncle s’imposait une règle : ne jamais manger de viande autre que celle choisie par lui. « Il y a trop de bêtes malades vendues pour la consommation ! ».
- Mais il y a bien des vétérinaires qui visitent, disait mon père ?
- Tu parles ! Les dessous de table c’est pas pour les chiens.
Bar Zinc
16:30 Publié dans animaux, Blog, Consommation, Dessin humoristique, Histoire, Moeurs, Montluçon, Religion, Société | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : corrida, abattoirs montluçon, pierre diot, bouchers, consommation viande animale, mithra
21/11/2022
26 décembre 1991 : Fin de l'URSS, qu'on dit
16:51 Publié dans Actualité, Blog, Dessin humoristique, Politique, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ukraine, centrale nucléaire zaprijjia, tchernobyl, urss, poutine, zelenski, kiev, moscou
20/11/2022
Qatar, Coupe du Monde 2022
12:13 Publié dans Actualité, Blog, Consommation, Dessin humoristique, Moeurs, Politique, Religion, Société, Sport | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bière qatar, fifa et danemark, sport et politique, qatar 6500 morts prolétaires ?
18/11/2022
J.O. 2024. France (Ou ce qu’il en reste!)
Plus idiot, tu crèves !
Est ce ça le symbole choisi pour les Jeux Olympiques datés 2024 dans Paris-Pourri ? Ouais ! C’est ça. « Ils » les surnomment ces deux bonnets : Les Phryges. Ce mot vient de phrygien un habitant d’un pays depuis longtemps disparu. Un pays dit-on de serviteurs et d’esclaves connu de nos ancêtres grecs et romains. Si l’on en croit les républicains de 1793 assassins de français, le bonnet phrygien de couleur rouge symbolise les souffrances et le sang d’esclaves libérés … Mais je me suis laissé dire quand vérité historiquement le sang serait plutôt celui d’une « blessure éternelle » dont parle l’historien Michelet dans son livre : La Sorcière. Le sang des menstrues. Les Phrygiens lors de rituels païens cuisaient des pâtés et des galettes dont ils se régalaient les ayant imprégnés de cette « blessure éternelle » de la femme. Alors, bon appétit, les républicains et républicaines auxquels se raccordent fièrement Madame Idalgo ainsi que le couple Badinter de la rue Cadet … roupettes ; et dont la Loi du 9 Octobre 1981 nous désarme devant nos assassins.
Ah ! Ca ira ! Ca ira ! Les petits jeunes étrangers hébergés dans la presqu’île de Geins ont déjà fugué ! Si vous en trouvez deux chez vous, à votre insu, donnez leur tout de suite votre numéro de compte en banque ça vous évitera des emmerdes avec les z’humanitaires collabos de l’Islam.
16:35 Publié dans Actualité, Blog, Macron, Moeurs, Société, Sport | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bonnet phrygien, jeux olympiques 2024, la phryge, immigration clandestine