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18/02/2015

Echec d'un complot contre DSK ?

"Le Nid"

renvoyé à la niche

DSK-Tribunal-de-Lille.jpg

17/02/2015

Des millions en rafales

L'Égypte achète à la France

un  n'avion vieux de 30 ans

 

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16/02/2015

Ferrero : mort d'un bienfaiteur français

 

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15/02/2015

Impasse de l'aller-retour n° 19

 

Impasse-4-du-15-02.jpg

 

-   Le cinquième à la queue leu leu qu'elle se farcit ! moi pas un seul.      Je devrais travailler à Pôle Emploi ; j'en aurais déjà passé cinquante de bonshommes.

Impasse de l'aller-retour n° 18

 

Impasse-3-du-15-02.jpg

Lui, je l'ai claqué une seule fois. Mais toi, dis donc ! tu te le fais combien de fois ?

- Jamais assez, vu qu'il me laisse de bons pourboires.

14/02/2015

Les Tarzanides du grenier n° 99

Il arrive tout a fait par hasard, sans la moindre malice, qu'un héros de BD ayant ni parenté avec Tarzan, ni même l'ambition d'en imiter les exploits, se retrouve dans une situation équivalente à celle de tel ou tel tarzanide officiellement identifié.

 

Ci après, une planche isolée du bi-mensuel PIPO, numéro 91 du 20 avril 1956.

 

Pipo-numéro-91.jpg

 

 

Il s'agit du « Chevalier de la vengeance », de son nom véritable Bussy d'Amboise, celui-ci d'abord surnommé « L’aigle de Clermont » dans un premier épisode republié sous la forme de deux volumes chez HORUS, année 1980.

 

Bussy d'Amboise exista réellement, non pas comme mignon d'Henri III mais comme dévoué spadassin du Duc D’Alençon. C'était l'époque où les nobles de France portaient des coussinets parfumés sous le vêtement, croyant faire oublier qu'ils nettoyaient peu les recoins de leur anatomie. Idéalisé par un roman de Dumas, puis par la BD, Bussy ne se comportait sûrement pas en gentilhomme d'opérette : il vous embrochait la bedaine, à plus forte raison si vous refusiez le duel.

 

Blessé, demi-nu, pareil à un tarzanide classique, Bussy « reprend ses esprits » dans une caverne. À son coté, une jeune, une superbe panthère noire. Sur la dernière image, l'homme aperçoit à contre jour la silhouette sombre d'une fille chasseresse. Quelque Tarzella ? Quelque Sheena ? Mais non ! Elle tient en main un gibier trop pauvre. Un lapin ! Ce n'est donc pas une de nos héroïnes de la jungle. Pourtant, le lieu, la présence d'un fauve, les protagonistes, tout cela semble venu d'un épisode prélevé dans les aventures d'un Tarzan.

 

- Dieu ! Une femme !

 

S'exclame Bussy d'Amboise en redressant son corps musculeux.

 

Alors là, ça ne va plus ! Car jamais Tarzan n'en appelle à un dieu. Ni à Jupiter, ni à Mazda, ni à Wotan, ni à Wakantanga. Ni surtout à votre dieu d’à présent, celui qui commet depuis plus de 2 000 ans tout un génocide contre les dieux et les déesses, ses frères et ses soeurs, votre YAHVÉ égocentrique qui n'est pas le SEUL dieu mais le DERNIER.

 

Reste qu'il a la vie dure celui là !

 

Doc JIVARO