Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

24/08/2020

Bayern Munich = 1 - Paris S.G = 0

 

Le lendemain

C'est encore le mieux vivre ensemble

Vous allez en crever démocrades !

 

Champs-Elysées-propriété-Qatar.jpg

20/08/2020

Parité Homme-Femme

 

TOUR DE FRANCE 2021

PODIUM

Tour-de-France-podium-parité.jpg

19/08/2020

PSG = 3 - LEIPZIG = 0

 

Savoir mouiller le maillot

football p.s.g,qatar,football leipzig,ligue des champions finale

18/08/2020

Pour réponse à un commentaire d'hier

 

OH, HISSE ! OH, HISSE !

 

 

Des années … que dis-je ? Des décennies que je me promets de temps en temps de rédiger ce qui pourrait bien devenir un bouquin à publier. Mais pour quel sujet opter ? Je me dis que des souvenirs racontés en pointillés pourraient suffire.

 

J'avoue avoir perdu beaucoup de temps à rêvasser, pour ne pas écrire à fainéanter. Quasiment tout est resté à l'état de projets. Je me retrouve en fin de vie comme avec de grosses pierres taillées pour un édifice jamais bâti. Ne me reste t'il qu'à me pendre ?

 

A propos de pendaisons : celles-ci restent rares dans les bandes dessinées destinées à l'enfance. Aujourd'hui, une loi les interdit. Toutefois, lorsque j'étais écolier, il nous était encore possible d'assister à l'une d'entre-elles. Par exemple grâce aux images ci-dessous extraites d'une BD ayant pour titre ZAR'O en 1948.

 

 

BD-Zar'o-justicier,-1948.jpg

 

 

C'était le nommé Mouminoux qui œuvrait ainsi pour les éditions « Claire Jeunesse » situées 36 rue de France à Nice. Tous les amateurs des styles variés de Mouminoux ignorèrent longtemps la jeunesse risquée de ce gaillard aventuré dans les pays de l'Est de l'Europe.

 

ZAR'O était imprimé sur seize pages d'un mauvais papier dont les usages après lecture se devinent, tantôt pour aider à allumer le feu du poêle, tantôt pour être déchiré en morceaux que l'on froissait en se dirigeant vers le fond du jardin dans une cabine traversée de courants d'air. Voulez-vous un dessin ?

Dans la rue une dizaine de maisons séparées par des jardins plus ou moins entretenus, et pas un voisin ne disposait de commodités sous son toit. Seule une habitation construite pendant la période dite  « La drôle de guerre 1939-40 » mettait des WC à portée immédiate des fesses d'une famille. Il y avait là deux enfants : un garçon, une fille qui attendaient pendant toute l'année le retour de leur père capitaine en Algérie. Celui-ci emportait avec lui son automobile, une traction-avant noire. C'était bien commode, ça nous permettait de jouer au ballon dans l'espace vide du garage les jours de pluie.

 

La gamine se montrait fiérote affirmant : « Mon père, il CAUSE arabe ! »

 

- Son père il a une poule là-bas chez les melons, racontait mon papa à moi. Mais je ne vous dirai pas qui me l'a dit.

 

Étonnons-nous de ne pas avoir à lire plus de mauvais coups dans les faits-divers.

 

 

Doc Jivaro

 

 

17/08/2020

Primitif de la chasse et de la corrida

 

DUPONT - MORETTI

ENCORNÉ ?

 

dupont-moretti,chasse à la glue,chasse gros gibier,politique et animaux,macron

 

Même si vous ne votez pas à gauche avec l'écolo-coco, vous pouvez ne pas apprécier le chasseur de petit ou gros gibier. C'est notre cas. Quoique notre jeunesse ait eu tout un voisinage de bourreaux de lapins et de tueurs de perdreaux. Nous achetions même notre peu de viande chez un boucher du nom de Lecoq qui tuait le bœuf et le mouton, ouvrant sa petite boutique à l'angle des rues Championnet et Septrée dans Montluçon.

L'une de mes deux grand-mères connaissait très bien la famille de chasseurs d'à côté. De temps en temps le Nemrod du voisinage nous apportait un lièvre plombé de partout. « Je l'ai tiré de trop près, mais si vous enlevez tous les petits plombs il est mangeable ».

- Merci Marcel.

Au lieu de jeter, il faut savoir donner. Vous comprenez ?

Ce chasseur après quatre années passées dans un stalag, gardait deux chiens, l'un Kirby l'autre Diane, de la même espèce. La preuve qu'il les aimait bien : il les attachait contre leur niche pendant la journée.

« Il les emmène quand même se promener un quart d'heure tous les soirs, sauf lorsqu'il fait trop froid », disait mon père.

- Heureusement, il ne jappent pas pendant la journée, ajoutait ma grand-mère.

- Ni pendant la nuit, précisais-je pour rappeler ma présence de petit bonhomme invisible à hauteur de la cheminée car ma tête ne dépassait pas le dossier de la chaise.

- Toi, la nuit, tu dois dormir !

Ici, fin d'une séquence familiale.

 

Bar Zing

15/08/2020

15 août 2020 et Covid-19

 

LOURDES : 

 

cette année aucun miracle

 

Lourdes-Covid-19.jpg