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01/12/2016

Montluçon lutte contre le racisme

 

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26/11/2016

Le malheur des uns fait le ...

 



CUBA, novembre 2016


feu de joie du peuple

 

Incinération du cadavre de Castro


24/11/2016

Montluçon queue de cochon

 

Aidez vos élus démocrates

à redynamiser

le quartier Ville-Gozet

Montluçon-redynamisée.jpg

19/11/2016

Les Tarzanides du grenier n° 233

  

Bon ! … Du moment que le Conseil d’État vient d’autoriser l’installation d’une crèche de Noël dans tel ou tel lieu public du pays de Clovis, nous pouvons rappeler que nos BD traditionnelles, y compris celles indépendantes de l’Église, ne manquaient jamais de signaler la proximité du jour de NOËL. Généralement en éditant un numéro spécial, celui-ci présentant un nombre de pages supérieur à celui auquel étaient annuellement habitués ses jeunes lecteurs. TINTIN, SPIROU, FRIPOUNET, pour l’exemple, étaient coutumiers du fait.

 

Cependant, des politiciens hostiles aux religions, et éditant des journaux pouvaient, eux-aussi signaler le retour de Noël. Les cas de l’ancien hebdomadaire VAILLANT et du quotidien L’HUMANITÉ du parti communiste étaient typiques de tous ces gens qui, sans religion, profitaient néanmoins du fait religieux pour inciter leur clientèle à dépenser un peu plus de fric.

 

VAILLANT, longtemps édité pendant la journée du dimanche afin de concurrencer les illustrés dominicaux venus du monde confessionnel (BAYARD, BERNADETTE, etc.) ne manquait jamais de mettre en vente un numéro spécial pour Noël. Ci-après la couverture du VAILLANT numéro spécial Noël de 1958.

 

BD-Vaillant-numéro-710.jpg

 

 

Sur ce sujet vous auriez pu questionner Thovarich, votre voisin de l’époque :

 

- Alors, on fête la fête des religieux, camarade ?

- Pas du tout ! Remarque plutôt que sur notre dessin d’ambiance, il n’y a ni une crèche, ni le Jésus du Chanoine Kir, ni aucun des personnages sanctifiés par les Papes. Nous ne présentons que des sujets autrefois païens mais qui ont perdu leur rôle religieux pour ne se réduire qu’à des sujets folkloriques : un sapin illuminé, un bonhomme sous une cape rouge, un fantôme, tout ça bel et bien appartenant aujourd’hui à la laïcité.

 

Comme c’était vrai camarade ! Seulement de la part des « sans dieu » il n’y avait là- dedans rien de vraiment dégagé des sujets d’illustrations utilisés par les éditeurs proches des milieux judéo-chrétiens. Prenons le cas du Journal de MICKEY, celui du 24 décembre de l’année 1939. C’est ça : 1939. Tout le monde sait que les studios WALT DISNEY respectent au maximum les bons sentiments et les conventions morales exigés des églises. Jamais de sexualité ; jamais d’autres péchés que celui d’une grossière gourmandise. Et pourtant malgré les concessions faites au christianisme, on ne trouve ni crèche, ni crucifix ni même Saint Nicolas redonnant la vie à trois petits garçons mis à bouillir par une méchante charcutière. Donc cette illustration Walt Disney est tout autant laïque que celle figurant sur l’ancien journal des communistes. Ne pourrait on pas les intervertir d’un éditeur à l’autre sans que leur laïcité y perde.

 

BD-Mickey-24-12-1939.jpg

Mickey, année 1939, numéro 271

 

Bah ! Doc Jivaro vient simplement de s’amuser, remarquant que les dessinateurs et censeurs mobilisés par les vieux de la vieille rengaine marxiste se comportent comme les dessinateurs et censeurs chargés de faire rire la progéniture des grands trusts capitalistes.

  

 

Doc Jivaro et Mfcl

 

13/11/2016

Diamanche Jour du Seigneur n° 31

 

Mon épouse fut favorisée : elle bénéficia d’une petite enfance protégée par les anges du paradis.

 

- Pourquoi, dis, Tantine, pourquoi les poules ne pondent-elles pas un œuf quand c’est le dimanche ?

 

- Parce que c’est dimanche et que le bon Dieu commande de ne pas travailler pendant cette journée.

 

Aux enfants, l’adulte raconte généralement tout un fatras de mensonges conseillés par la bonne éducation, surtout lorsque le sujet tourne autour des choses de la sexualité.

 

- Je croyais vraiment que les poules savaient que c’était dimanche le dimanche. Beaucoup plus tard quand j’eus l’âge de soupçonner que le petit jésus n’était pas sorti d’un chou fleur, Tantine me fit l’aveu : on cachait l’œuf pour pas que tu le trouves.

 

Comme si à huit ou neuf ans je n’avais pas encore deviné toute seule !

 

Et mon épouse de poursuivre : « Tu comprends que mes dimanches étaient folichons : la grand messe jusqu’à midi et, tiens toi bien ! les vêpres vers quinze heures dans l’église où il y avait plus de chaises vides que de culs assis. Mais heureusement …

 

- Heureusement ?

- Heureusement nous avions un jardinier qui venait jardiner presque tous les jours de la semaine. Il m’amusait. Il me montrait …

- Tiens ! Tiens !

- Dis pas une bêtise ! Il me montrait comment il avalait des escargots tout crus.

- Avec leur coquille ?

- … Me souviens pas. Mais je me souviens qu’au goulot d’une bouteille il buvait du vin rouge. Il me faisait promettre de ne rien dire. Tu ne me croiras pas mais j’ai tenu parole. Mon père est mort depuis trente ans sans savoir que son jardinier volait nos escargots.

 

Ryal

 

 

06/11/2016

Dimanche, jour du Seigneur n° 30

 

Donc, dimanche jour des bras croisés.