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26/07/2016

Démocrateux "Droas de l'Homme", gaffe !

DON DU SANG

anonyme au départ,

inconnu à l'arrivée

Don-du-sang-destination.jpg

«L’être humain» est le plus dangereux, le plus cruel de tous les mammifères.

C’est donc lui qui ne mérite pas de clémence.

24/07/2016

Dimanche, jour du Seigneur n° 19

Dimanche-jour-du-Seigneur n° 19.jpg

En hiver, l’Abbé S. se déchaussait pour réchauffer ses pieds à l’ouverture du four dont il avait rabattu la porte sur laquelle il appuyait ses talons.

C’était pas lui qui payait les boulets de charbon.

 

22/07/2016

Ne parlez pas des sujets qui fachent

 

Depuis que le Moyen-Orient et l'Afrique 
sont décolonisés 
ils viennent installer 
leur religion et leur mœurs en Europe

 Zimbabwe.jpg

 

21/07/2016

France terre d'accueil

salafisme,polygamie,niqâb,fatma naout,pigalle métro,raphaelle duchemin

19/07/2016

Le malheur des uns ...

Attentats musulmans ?
Du bon pour le commerce

 Nice-fleuristes.jpg

 Nice, ce 19 juillet 2016.

 

Grâce à un réflexe approprié à la situation, j’ai réussi à éviter le camion frigorifique conduit par un travailleur délinquant immigré muni d’une carte de séjour de dix années démocraseuses. Mais, à cause de l’effort fourni par mes pieds, le lacet de ma chaussure gauche a été cassé.

 

D’où ma question : puis-je obtenir du fond d’indemnité des victimes d’attentats dus au Front National, le remboursement d’une paire de chaussures neuves ?

 

P.S. : Je vote Mélanchon.

17/07/2016

Dimanche, jour du Seigneur n° 18

  

A l’approche du midi d’un des jours dominicaux, ma femme et moi passions à l’ombre du haut mur de l’église, du côté des marchands musulmans, lorsque brusquement tous les clapotements forains furent noyés dans un déluge de battements de cloches tout autour de nos têtes. A ne plus s’entendre parler.

 

- Il y va trop fort, le curé ! cria dans mon oreille mon épouse née dans une famille de vraie bourgeoisie pratiquante catholique.

 

Sûrement, oui, la prêtrise frappait trop fort. Et je m’amusais à supposer que le grand bruit des cloches secouées servait moins à célébrer l’office des fidèles qu’à faire s’écrouler le clocher.

 

Se rendre à la messe dominicale c’était obligatoire pour être bien accepté aux deux leçons de catéchisme en semaine. Me semble même me souvenir qu’il fallait faire pointer quelque carte de présence.

 

- Tu l’as oublié ta carte ?

- Ca ne risque pas. Ma mère l’a fourre dans ma poche et faut que je la lui rende à mon retour.

- Que tu lui rendes ta poche ?

- T’es con ! … Dis, on va faire une partie de baby-foot à la sortie ?

- Impossible ! j’ai failli prendre une raclée l’autre dimanche quand je suis rentré en retard qu’ils m’attendaient pour commencer à bouffer l’entrée de céleri-tomates.

 

A l’approche de la fin de la messe, tout le monde devait chanter l’allégresse d’être chrétien. Surtout catholique. Je ne me rappelle plus les paroles mais quelques unes surnageaient comme un refrain :

 

Je suis chrétien

Voilà ma gloire

Mon espérance et mon soutien.

 

Pour mon copain du moment et pour moi ce chant religieux correspondait vraiment à une délivrance : il annonçait la fin d’une heure d’ennui.

 

Nous allions nous retrouver libre dehors, sous le ciel, DANS le ciel, avec de véritables nuages. Nous allions échapper à la surveillance des statuettes en plâtre peint dont chaque visage fermé comme une serrure de geôlier épiait nos mouvements y compris les plus discrets. Surtout les mouvements de nos lèvres. Car assez rapidement une des phrases religieuses chantées par l’assemblée, se trouvait déformée, ici ou là, par quelques langues enfantines irrespectueuses. Le « Je suis chrétien » était trahi en un « Je suis crétin ».

 

C’était tellement facile.

 

- Tu crois que le curé il nous a repérés ?

- Mais non ! Mais non ! Il a autre chose en tête ! Il va aller manger dans la famille de la Grande Boucherie Charcuterie de la Place, où qu’il est invité  tous les dimanches. Y paraît que leur fils veut faire le séminaire.

- Le quoi ? Comment tu sais ?

- Je le sais c’est tout. Allez, bye ! Je cours en avant pour m’éviter une engueulade.

 

Ryal