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02/01/2024

Premier janvier 2024

J'ai pris des nouvelles 

d'un des quartiers parisiens

de ma jeunesse ...

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31/12/2023

Tarzanide n° 579

 

Pour faire bref !

 

Dauphin ! … Dauphin ? Vous avez dit « dos fin », mon cousin ? - Ah je vous en prie pas de jeux de mots bébêtes. Chez nous un dauphin c’est le fils aîné d’un roi de France depuis le XIVe siècle et recevant en héritage le Dauphiné, province fort éloignée des océans.

 

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Quant au dauphin cétacé des flots salés on le dit actuellement menacé de disparition. Et pour l’aider à survivre, certains autres mammifères l’emprisonnent dans des bassins où il doit faire le clown pour amuser des gamins gavés de ice cream. Malgré ce spectacle les bandes dessinées de mon enfance utilisèrent fort peu les nageoires ... pardon : les ailerons de Flipper … J’ai pourtant gardé souvenir d’un fragment d’épisode dans lequel «  TARZAN VAINQUEUR » échappe à la mort en compagnie de dauphins.

 

 

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Vous retrouverez ce sauvetage en première page du n° 282 du 16 février 1952. A ce moment là mes petits copains et moi n’imaginions pas que notre journal illustré préféré allait disparaître pendant de longs mois à cause d’un complot catholique-communiste archi-jaloux du succès populaire autant que commercial de l’italien Del Duca.

 

Reste que le dauphin symbolise encore l'héritage autant que le renouvellement et qu'il m'amène à vous souhaiter en ce 365e et dernier jour de l’année 2023, une future bonne année 2024.

 

Et ça malgré l’accumulation des prémices d’une « Troisième Mondiale ».

 

Doc Jivaro

 

27/12/2023

Karl n'est plus Marx : il n'est qu'Olive

« Pas de vraie mixité sociale 

sans mixité de logement »

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26/12/2023

L'Histoire de France ne s'en relèvera pas :

DE-PAR-DIEU 

viré hors du Musée Grévin

Depardieu-Musée-Grévin.jpg

20/12/2023

« Que messieurs les assassins commencent ! »

La MONIQUE OLIVIER 

sauve sa peau

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19/12/2023

Tarzanide n° 577

 

A Montluçon, le Pont Saint Pierre …

 

Je dis … c’est ça : jeudi 14 décembre, tôt matin, j’accompagnai mon épouse jusqu’à la rue du Capitaine Segond.

 

Dans Montluçon côté Ville Gozet, juste à l’arrière de l’église Saint Paul ; mais oui, bien sur, je connaissais ce rez-de-chaussée : c’était celui du Docteur Perche à ses débuts pendant mon enfance.

 

- « Tu sais qu’aujourd’hui je t’emmène chez le médecin » me prévenait ma mère.

- Zut de zut ! Encore la moitié de mon jeudi de fichue !

 

Ce jour la d'il y a des années et des années, du dehors et par la fenêtre grande ouverte de la salle d’attente, j’entrevis sur la table centrale du cabinet du praticien des images de COQ HARDI, l’illustré BéDé.

 

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Des avions de guerre jaillis de deux séries 1948 : l’une « Les Géants du Ciel », l’autre « Le Grand Cirque », celle-ci d’après l’œuvre de Closterman, toutes deux illustrées par Mathelot. Une belle réussite dans le genre.

 

Tout à côté de ce rez-de-chaussée où se déroulent des examens médicaux, un grand bâtiment massif que mon grand-père appelait « La Maison des Travailleurs » ou encore « Maison des Syndicats ». En travers de sa façade une bannière en tissu déchiré pendouille; lamentable, abandonnée. Alors camarades syndiqués, on n’entretient plus votre lieu de rendez-vous historiques ? Mais je me souviens surtout d’un de vos moments dénués de gloire pendant lequel vous déplaçâtes la statue de votre Marx Dormoy en contrebas d'un des châteaux des Bourbons. Et ça pour la remplacer par une ... pompe à essence !

 

D’aucuns racontèrent alors que la sœur de Marx Dormoy s’était exclamée furieuse : « Ils l’ont placé aux pieds de ceux qui l’ont tué ! ».

 

Montluçon et ses anciennes usines : une ville de prolétaires ? Oui ! et, donc, aussi une ville d’ingénieurs.

 

Doc Jivaro