30/04/2012
Barzinguette N° 4
Lorsqu'il n'est pas convoqué à la Brigade de répression des fraudes, le socialiste Julien Dray aime bien s'entourer de relations huppées pour fêter son anniversaire.
Ce fut le cas samedi soir 28 avril.
Et ce fut rue Saint Denis.
DSK ne pouvait pas manquer une invitation si bien localisée.
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Où sont les hôtesses d'accueil ? Qu'il demanda dès l'entrée.
Étaient présentes Martine Aubry et Ségolène Royal … qui s'éclipsèrent illico presto pour s'éviter un malentendu fâcheux.
Toutes deux venaient de causer un affront public au camarade Strauss-Kahn.
Ainsi qu'à Julien Dray.
Mais, bah ! Espérons que l'impolitesse sera oubliée le jour du Grand Pardon.
14:06 Publié dans Actualité, Media, Moeurs, Politique, Sexualité, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : dsk, dominique strauss kahn, julien dray, ségolène royal, sexualité
29/04/2012
Brèves du trottoir n° 62
Rue Saint Martin, année 72 ?
Une des dernières visibles.
Les parents de l'école toute proche se plaignirent du va-et-vient des filles.
Ça faisait pourtant plusieurs décennies qu'elles l'arpentaient, le trottoir à proximité des entrées et sorties du petit écolier qui s'en amusait bien. Elles étaient visibles 24 heures sur 24. Exception faite d'un intervalle de trois ou quatre années d'avant mai 68 ; années pendant lesquelles, de jour, la police veilla à ce qu'elles restassent planquées au fond des couloirs.
A ce propos me semble que le Canard Enchaîné imprima quelque chose comme : c'est à cause de Tante Yvonne ! Elle a aperçu des grues rue Godot de Mauroy, et s'en est offusquée.
Aujourd'hui, Madame de Gaulle, pudibonde catholique défunte, va peut être devenir la Sainte Patronne de militantes féministes athées acharnées à se venger du patriarcat.
14:58 Publié dans Arts, Moeurs, Sexualité, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : prostitution, prostitution populaire, prostitution parisienne, sexualité, moeurs parisiennes
Brèves du trottoir n° 63
Zut de zut ! sur les trois, n'y en a pas un qui se décide, ce matin.
14:57 Publié dans Arts, Moeurs, Sexualité, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : prostitution, prostitution populaire, prostitution parisienne, sexualité, moeurs parisiennes
28/04/2012
Montluçon city infernale
Un panneau planté situé avenue Marx Dormoy … anciennement avenue Napoléon III puis avenue Maréchal Pétain.
Ainsi passent et trépassent les politiques.
Lorsque nous étions adolescents nous disions simplement « avenue de la gare ». C'était dans sa proximité que nous pouvions trouver « du trèfle ». Comprenez : trouver des filles de notre âge disposées à suivre gentiment des garçons vers des lieux abrités du regard des anges.
Les anges, ces pâles espions à la solde d'un dieu châtré.
Je me rappelle Nicole … dire qu'aujourd'hui elle est forcément plus vieille que moi ! Mais peut être est-elle morte ? Ne devrais je pas plus modérément écrire : décédée ? Me semble qu'étant D.C.D on est moins mort que mort.
Je viens d'ajouter un deuxième panneau, à mon avis beaucoup plus utile que le précédent.
En souhaitant que les mémères et pépères aillent déposer ailleurs que dans l'espace public, les étrons PERSONNELS qu'ils évacuent par l'intermédiaire du trou de cul d'un chien coprophage !
BAR-ZING
19:35 Publié dans Actualité, Education, Moeurs, Montluçon, Société | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : montluçon, appel à la mairie, propreté, déjections canines, nuisance
22/04/2012
Brèves du trottoir n° 61
15:47 Publié dans Arts, Moeurs, Sexualité, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : prostitution, prostitution parisienne, prostitution populaire, sexualité
Brèves du trottoir n° 60
Bavardez autour de vous, l'étonnement peut vous plomber sur place. Principalement en petite province. Presque tout un chacun croit, mordicus, que la loi dépossède du droit de vote la prostituée.
« Et c'est juste, c'est la déchéance la punissant. Elle a refusé d'apprendre à gagner de l'argent de façon normale, de façon honnête ».
Assurément ! Il est bien plus normal, bien plus honnête de s'empoisonner à l'amiante pour toucher un salaire de misère. Ou encore de passer pauvrement 40 ans de sa vie les pieds dans l'eau froide, rien qu'a trier des tonnes de poissons morts dans des bacs à glace.
Toujours est-il que les prostituées et les prostitués (n'oublions pas nos amis les hommes) gardent tout à fait leur droit de vote.
En 1981, Mitterrand l'emportait contre Giscard. Le Monde raconta, longtemps après, que les filles de la rue Saint Denis avaient joyeusement scandé « On a gagné ! On a gagné ! »
Je ne sais où certains des pigistes de ce journal de gauche glanent leurs cancans. Mais bien des messieurs assidus auprès des tapins pensent que les gagneuses blanches traditionnelles ont plutôt le réflexe de voter d’extrême-droite. Principalement depuis qu'une double immigration asiatique et africaine leur cause une concurrence déloyale dans le quartier.
Toute immigration massive apporte avec elle SA MAFIA originaire.
D'où un danger antisocial omniprésent que les nigauds de la tolérance et les politiciens d'une démocratie-passoire ignorent ou affectent d'ignorer.
Comme un tel danger ne se voyait pas comme le visage autour du nez.
Bar-Zing
15:42 Publié dans Arts, Moeurs, Politique, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : prostitution, sexualité, prostitution populaire, prostitution parisienne