18/06/2018
Dernières grèves
– La vache, dis donc ! c’est ton fils qui se rend à ses cours.
– N'm'en parle pas ! Et tu sais ce qu’il m’a dit ? que les voyageurs démunis de trains ne devaient pas demander le remboursement des billets à la SNCF mais qu’ils devaient le demander aux syndicats grévistes. Tu vois un peu où qu’on en arrive à force d’apprendre à raisonner dans les écoles du capitalisme.
11:01 Publié dans Actualité, Consommation, Dessin humoristique, Macron, Media, Moeurs | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : sncf, transport ferroviaire, grèves cheminots 2018, cgt, sud rail
14/06/2018
Comment nous en préserver ?
Ce soar
ils envahissent notre salon,
notre canapé, notre télé
et la terrasse du dernier bistro d'en face
Un peu de foot, oui. Trop, non.
Mais vous allez me dire que vous n'en avez jamais assez.
14:31 Publié dans Actualité, Dessin humoristique, Media, Moeurs, Société, Sport | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : coupe du monde 2018, psg, fifa, deschamps, pogba, giroud, lemar, istra mascou
13/06/2018
Encore 5 migrands sauvés en Méditerranée
11:18 Publié dans Actualité, Dessin humoristique, Economie, Macron, Media, Moeurs, Politique, Sexualité, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : aquarius, ong sos méditerranée, mattéo salvini, vintimille, droit international, surnatalité
11/06/2018
Comment votre démocrassie crève d'elle même
11:54 Publié dans Actualité, Dessin humoristique, Media, Moeurs, Politique, Religion | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : rmc, médine, bataclan, j.j.bourdin ce lundi 11 juin, laïcards, golgotha médine
07/06/2018
Portables prohibés dans les écoles
Mais une question qui fait débat
11:46 Publié dans Actualité, Consommation, Dessin humoristique, Education, Enseignement, Macron, Media, Moeurs, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : portable à l'école, éducation, enseignement, jean-michel blanquer, éducation nationale, interdire le portable dans l'école
02/06/2018
Tarzanides du grenier n° 301
En fin d’année 2005 ou 2006 quand mon épouse et moi bavardâmes avec une des dernières dames de la rue Saint Denis, nous entendîmes celle-ci rouspéter contre tous les changements apportés à son environnement.
D’abord se plaindre de la disparition des salons de coiffure de proximité. « Rendez-vous compte : on en avait deux rien que rue Blondel ! aujourd’hui, zéro. Je dois remonter à pinces le Sébasto plus loin que Gare de l'Est… Et encore ! j'ai rien que des boutiques où elles font le décrêpage ou la touffe afro. Je leur en mettrais, moi : »
– C’est la déroute des blondes.
– Plaisantons pas avec ces choses ! Vous savez qu’a fallu que j’avertisse mes habitués ? Vous ne me verrez plus en manteau de fourrure sur le ruban, que je leur ai dis. L’autre jour, un groupe de femmes est passé avec des écriteaux. J’ai pas eu le temps de les lire. Je me suis faite agonir… Je me suis planquée dans le couloir. Je leur ai juste crié que c’était du faux, pas du vrai. C’est du vrai bien sûr ! je l’ai payé assez cher, mon renard !
– Tu devrais écrire tes mémoires. T’as connu des tas de gens. Tu nous as souvent dit avoir… Enfin t’as dit avoir connu Michel Simon.
– Lui ou les autres… Je suis en bout de piste, je sais. J’en ai gros sur la patate à voir la rue comme elle est. Ou, pour mieux dire, comme elle n’est plus.
Il n’y a pas que les femmes qui doivent renoncer en public à se blottir dans de la fourrure. Il y a aussi leurs compagnons humains, réels ou mythiques qui ont dû se débarrasser de tout vêtement en peau d’animal. Tenez : le plus connu dans le genre « homme des bois » : TARZAN. Regardons l’image BD d’en dessous. Doc Jivaro l’a sortie du numéro mensuel 23 de SAGEDITION, année 1974.
Bravo ! Vol plané réussi pour tomber sur le râble d’un esclavagiste fournisseur de jolies filles pour le harem du grand vizir. Mais reculons plus de dix années vers l'arrière, en 1951. Nous retrouvons cette même scène avec quelques modifications.
Le pagne est dessiné façon « peau de léopard » alors que dans la réédition en 1974 le marquage de l’animalité a été gouaché, rendu invisible par la censure. On détecte même un autre « détail » qui joue à cache-cache : le poignard escamoté dans l’image en couleurs, réapparaît dans l’image imprimée noir sur blanc.
– Dis donc elle n’a plus l’air d’avoir le moral, la fille.
– Pourtant, c’est à croire qu’elle met un point d’honneur à rester la seule survivante en piste. Tu sais qu’elle raconte avoir été présente lorsque "ils' ont sorti un Monseigneur inconnu par l’escalier pour pas que la police le trouve mort dans une piaule ?
– Elle peut prouver ce qu’elle dit ?
Doc Jivaro
19:21 Publié dans BD, BD anciennes, Brèves du trottoir, Grenier de la BD, Journaux, Moeurs, Sexualité, Société, Tarzanides | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : tarzan, tarzanides du grenier, bandes dessinées de collection, bd anciennes, sagédition, rue saint denis, paris, bob lubbers