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22/07/2017

Les Tarzanides du grenier n° 261

  

Lorsque Doc Jivaro n’œuvre pas à accélérer la disparition de l’espèce humaine, il se repose. Se reposant il feuillette divers paquets de journaux vieillots, tous écornés, déchirés poussiéreux.

 

- Tu cherches à périr empoisonné ? Interroge son n’épouse.

 

Doc Jivaro s’attarde sur un journal populaire pour les adultes année 1955 : LA PRESSE MAGAZINE dont la Rédaction se tenait au 142 rue Montmartre Paris 2e.

 

En bas de la deuxième page de l’exemplaire numéroté 505, une photo-montage affichant la tête d’une gamine avalant un restant … de banane.

 

« Elle en mange 10 000 par an » c’est ce qui est imprimé dans le texte.

 

Est ce vraiment un appétit pantagruélique ? Ou alors … Ou alors une incitation à récidiver avec toutes les insinuations obscènes relatives à ce fruit originaire des pays chauds. Vous savez, ces histoires qui font rigoler toute la tablée à la fin d’un gros repas d’européens bien nés, quand la jeune fille dans sa robe blanche de « Communion Solennelle » a les oreilles rougies d’en attraper tant et tant au vol « des raides et des pas mûres »

 

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Sur la photo montage, ce qui attire notre curiosité ce n’est pas tant la goinfrerie attribuée à la gamine que l’affichage, en avant d’elle, de la couverture d’une brochure de bandes dessinées : PECOS BILL.

 

PECOS BILL, héros légendaire du Texas, eut ses heures de gloire auprès des garçons de mon âge. Mais, justement, ce genre de BD était destiné aux garçons. Pas aux filles. Les mœurs d’alors séparaient nettement deux écoles : pour Mademoiselle, la couture ; pour le jeune homme, la boîte de Meccano. D’où, à coup sûr, une petite fille lisant PECOS BILL devait être le résultat d’une erreur d’aiguillage. C’était une « garçon manqué ».

 

Doc Jivaro ne possède pas la collection complète des BD PECOS BILL. Aussi n’a t’il pas trouvé à portée de sa main la brochure dont il bavarde ici. Toutefois, une recherche auprès de nos faux amis que sont les commerçants dans Wikipédia, lui a permis d’obtenir des précisions . Il s’agit du numéro 13, portant pour sous titre : le Tam Tam du Woo-Doo. Ce fascicule, commercialisé 35 frs en 1955 se vend à présent entre huit et dix euros, l’achat étant relatif à l’état de conservation des pages.

 

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 Faisons mine d’en finir tout de suite : Susan MORGAN, la petite demoiselle condamnée à ne digérer que des cargaisons de bananes « à cause d’une tumeur à l’estomac », VIT-elle encore, vieillissant minute après minute comme vous et moi.

 

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Aux dernières nouvelles, voici ce que fut la VRAIE physionomie de la petite Susan.

 

 Doc Jivaro et Mfcl

 

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Disparition-espèces-animales.jpg

 

Repensons au temps disparu quand notre voisine déroulait tout un ruban adhésif qu’elle collait d’un bout à l’autre au-dessus de sa tête, contre le plafond de sa cuisine. Des centaines de mouches se retrouvaient prisonnières les pattes paralysées, pendant que l’insecte agonisait en faisant avec ses ailes tout un bruit de petite locomotive ne réussissant plus à démarrer.

 

 Mon père n’aimait pas du tout ça : « C’est dégueulasse ! ». Il prévenait ma mère : Si tu achètes un machin pareil je fous le ruban et les mouches crevées dans ta soupe !

 

 Lorsque j’étais gamin, la population des mouches faisait partie de toutes les ambiances familiales. Ça pouvait agacer (le plus souvent) ; ça pouvait amuser (fallait improviser).

 

 Il m’arriva d’attraper dans mon poing une de ces bestioles pour lui enlever ses ailes. C’était rigolo de la voir condamnée à marcher sans jamais réussir à reprendre son envol. Je ne pensais ni à l’ahurissement de l’insecte, ni à sa mort prochaine. Je ne savais que ce que sait l’enfance : seul compte l’amusement du moment.

 

 Aujourd’hui je suis vieux et tranquille : il n’y a plus une seule mouche qui monte et descend, et qui ne descend que pour remonter, sur la vitre de la fenêtre.

 

 Par contre, récemment, dans Montluçon, il y a eu deux vieillards assassinés par un groupe de jeunes gens originaires de …

 

 Mais je ferme ma gueule pour ne pas être tout de suite écrasé par le rouleau compresseur des « Droits de l’Homme ».

 

 Des « Droits de l’Homme » souvent pervertis jusqu’à devenir les droits du délinquant, les droits du criminel et les droits du terroriste.

 

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