Bar-Zing

Défaillante, la mémoire du Docteur Jivaro lui faisait croire qu'il possédait le numéro 1 de MACHO. En réalité, il n'est en possession que du numéro 5 de l'année 1979. MACHO était une brochure de 48 pages marquée par une homosexualité militante.

 

 

Outre d'habituels textes réprouvant des comportements hostiles envers les gays, ce numéro 5 expose une illustration de couverture ayant trait à un des aspects de la sexualité humaine le moins toléré par la victoire législative judéo-chrétienne contre les mœurs païennes. Nous parlons de la zoophilie.

 

Mais qu'est-ce que cette "déviance"  érotique vient faire dans notre série BD consacrée aux Tarzanides ? Voyons, l'évidence en apparaît lorsqu'on lit MACHO numéro 5 ! Son article « Le Beau et la Bête » de sa page 6 jusqu'à sa page 14, utilise un graphisme signé Burnes Hogarth. Des dessins célébrant Tarzan, bien sûr ! Et qui sont extraits des deux volumes retraçant la naissance puis l'âge adulte du fils de Lady Alice et Lord Greystoke. De ces deux volumes réussis par Hogarth, un seul – le premier – reçut une traduction en langage indigène français (Dépôt légal : 1973).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

MACHO n° 5 sélectionna des attitudes suggérant l'amour "contre nature" entre l'humain et l'animal.

 

Faut-il supposer que l'homosexualité incline plus souvent que l’hétérosexualité à la pratique zoophile ? Docteur Jivaro n'en sait fichtrement rien. Pour un tel sujet, il se limite a espérer que les échanges poussés entre l'animal humain et l'animal animal n'incitent pas à une maltraitance contraire aux sensations naturellement agréables à la bête.

 

 

 

 

 

 

 

De plus en plus, amplifiant son style, Hogarth attribua à son Homme singe des hanches et des fesses dotées d'un charnu que  l'hétéro préfère généralement rencontrer chez la fille voluptueuse. N° 106 et année 1950 de l'hebdo TARZAN.

 

Qui donc peut ignorer les bienfaits que des dames blasées d'avoir à fréquenter journellement l'homme, trouvent dans la compagnie de leur bichon favori ?

 

Docteur Jivaro

 

 

Encore un qui met ses pas dans ceux de la fille, mais qui s'inquiète d'être aperçu la suivant.

C'était une SM, elle.

Malicia n'était pas patiente.

« Elle a pris ce prénom après avoir vu un film Boulevard Bonne Nouvelle », me disait Pierre qui avait vécu cinq ou six mois "à la colle"  avec elle.

Effectivement ! un film Malicia italien existe depuis 1973. Merci Wikipédia.

 

 

Comme c'est gentil, mon roucoulou ! On remarquera qu'au contraire de la légende écrite, il n'y a aucun baiser échangé entre amoureux.

 

 

 

 

Toutefois, le zouave présent dans le Maroc pouvait trouver d'autres divertissements que ceux de la belote coinchée …

 

A condition que casque la chéchia du soldat !

 

Cette carte postale fut adressée depuis MERZAGA, le 23 août 1913, à une demoiselle de Montluçon, qui devint la grand-mère côté paternel du Docteur Jivaro.

 

 

 

 

Les zouaves, aujourd'hui encore, restent les grands oubliés de la Grande Guerre 1914-1918. 

 

Leur corps d'armée ne fut supprimé que pendant l'année 1962, après le repli français en métropole où sévissait la propagande communiste made URSS de collaboration avec le FLN.  

 

Le Docteur Jivaro rappelle que le 11 novembre n'est en rien une fête. C'est la commémoration d'un armistice.

 

 

 

- Elle, elle ne se tape que des masos. Et des vrais ! Elle y va de tout son cœur. Quelle raclée elle leur flanque ! un jour, elle va en carboniser un, ouais !