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21/04/2021

Tu montes, chéri ?

 

Oublions l’actualité pour appeler que depuis une quinzaine de jours Doc Jivaro fouille mais sans trier dans des paquets d’anciens bouquins dont il a empli le grenier lors de son déménagement de Paris à Montluçon en 2001.

 

Il se souvient même lorsque sa femme est venue lui annoncer dans le jardin : on a bombardé le Pentagone !

 

- Impossible ! Ai-je riposté. « Ils » auraient abattu l’avion avant d’être survolés.

 

Cependant la télévision en direct continuait de montrer les progrès du terrorisme musulman : le double effondrement des tours du World Trade Center.

 

Aujourd’hui, j’en suis à feuilleter deux livres retrouvés côte à côte et dont j’avais oublié l’existence sous une mince couche de poussière veloutée. L’un daté 1947 : l’Almanach Ouvrier-Paysan « réalisé aux Éditions Sociales ». En termes clairs : produit de propagande communiste stalinienne. L’illustration de la couverture est signée de Picart Ledoux.

 

 

Picart-Ledoux,-1947.jpg

 

 

L’autre livre a pour titre « Gagneuses ! » daté de 1951. L’illustrateur en est encore Picart Le Doux (cette fois, le nom écrit en trois mots) et le texte qui détaille les trottoirs parisiens d’avant le téléphone rose, est un texte signé d’un monsieur Sylvain BONMARIAGE (ça ne s’invente pas !).

 

 

Picard-Ledoux,-les-gagneuses, 1951.jpg

 

 

Je n’aime pas du tout les dessins du camarade Picart Le Doux. J’en entendis parler pour la première fois par René Perrot professeur pendant mes débuts à l’École des Beaux-Arts de Bourges, Place Cujas. On insistait sur ses réalisations dans le domaine de la tapisserie traditionnelle à gros points. Mais ici, c’est le double emploi de Picart Le Doux comme illustrateur de tapineuses et d’ouvrières CGT qui m’amuse, connaissant l’hostilité officielle des militants cocos envers la prostitution. Hostilité officielle sauf qu’en bordure du Canal de Berry, quai Louis Blanc, lorsque mon grand-père, encore adolescent, travaillait sur les péniches dites « flûtes berrichonnes », l'ouvrier montluçonnais des usines Saint Jacques ne manquait pas, le jour de la paye, de fréquenter des filles tarifées du prolétariat laborieux.

 

Vous savez comme se comportent les organismes se prétendant bienfaiteurs publics : les catholiques, de leur côté, célèbrent la manière picturale de Georges Rouault lorsqu’il réalisait des œuvres pieuses, mais préfèrent ignorer que cette manière fut mise au point lorsque l’artiste utilisait des putains pour modèles.

 

Avant de nous quitter remarquons l’outil truelle du travailleur au niveau de la braguette. En 1947 Picart Le Doux se préparait-il pour une gagneuse de 1951 ?

 

Bon fin d’après-midi à tous.

 

Doc Jivaro

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