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09/05/2016

Aujourd'hui, votons Islam contre la laïcité

 

Quand l'Union Européenne
collabore avec le revanchard turc

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08/05/2016

Dimanche, jour du Seigneur n° 9

 

- C’est vrai que tes oreilles ont grandi plus vite que ta tête.

 

Quoi, comment ? Et c’était ma mère qui confirmait une inquiétude, un malaise qui m’occupait depuis que je m’étais attardé devant la glace de l’armoire, rien que pour vérifier ce que je croyais être la symétrie naturelle d’un visage. Ma paire d’oreilles m’avait soudain paru trop grande, et chaque oreille décollée façon Jumbo.

 

Maman chercha à me rassurer : ça s’arrangerait avec le temps.

 

Peut être. Seulement, ça s’aggravait surtout au moment d'aller dehors. Fallait remédier à cette difformité d’autant difforme que je n’avais pas joyeusement imaginé jouer le clown au centre d’un attroupement de moqueries.

 

J’eus le bon réflexe : le béret. Je n’aimais pas le béret … Mais il y avait toujours une raison pour qu’un béret chapeaute mon crâne. Un jour : il va pleuvoir, mets ton béret. Un autre : il fait du vent, tu serais dépeigné. Encore un autre : le soleil tape, tu risquerais en pédalant sur ta bicyclette sur la route de Guéret, une insolation sans ton béret.

 

Pour une fois, elle allait vraiment être utile, la coiffure basque inséparable de la silhouette du maquisard embusqué. Le béret, je l’enfonçais jusqu’au ras des sourcils, bien à fond. J’enfermais mes esgourdes, les cachant pour les rendre inexistantes. Une esgourde ? j’ai dû trouver cet argot pendant mon adolescence chez Auguste le Breton. Allons, la journée s’annonçait moins mauvaise que ce que je craignais.

 

Mais comment avais-je pu oublier Marie-France ? … Marie-France était une gamine dont le jour de naissance et le mien sont à égalité depuis plus de soixante dix ans. Nous nous rendions intéressants devant la ménagerie des enfants du quartier en affirmant être frère et sœur de lait : « La même nourrice, on a eue ! »

 

Toutes les vraies nourrices portent de gros nichons ou, alors, ce ne sont que de fausses nourrices tricheuses et qui allaitent avec un Robert le marmot. Le Robert c’est le biberon.

 

Le lendemain, j’étais content de revoir Marie-France.

 

Elle m’accueillit d’un coup de pied.

 

- Avec ton béret enfoncé sur tes oreilles qu’est ce que t’es moche !

 

Moche ! Moi ? … Et elle, avec sa paire de lunettes sur son nez trouée de deux narines, elle n’était pas moche, cette binoclarde ?

 

Elle m’avait contrarié, la petite vache.

 

Mais en même temps, je ne disposais pas d'assez d’héroïsme pour lui déplaire. Je décidais donc de jeter mon bonnet non pas par dessus les moulins ; mais au moins dans ma poche de culotte. Dans ma poche gauche car, pour ce qui était de la droite je l’utilisais pour garder ma réserve de billes.

 

Donc, le béret disparu, ma liberté renaissait. Je guettais le moment où Marie-France sortirait de sa maison familiale au bout de la rue, se rendant comme moi « au Caté du jeudi matin » ; mais pas dans le bâtiment des garçons, elle.

 

Ravalant la dernière goutte du venin que j’avais entretenu à petit feu, je courus avec une fierté renouvelée vers la binoclarde.

 

- T’as vu, je n’ai plus de béret.

 

- On ne t’a jamais dit que tes oreilles débordaient de tes épaules ?

 

catéchisme,montluçon,paroisse saint paul,auguste le breton,souvenirs d'enfance

 

Ryal 

12/03/2016

Les Tarzanides du grenier n° 203

 

Alerte ! Les touristes font défection en France. Leur raréfaction est principalement enregistrée dans Paris, zone de ralliement des immigrations communautaires clandestines. Et l'on comprend que l'étranger détenteur d'un passeport légal n'ait aucun goût à se retrouver victime d'agressions dans les sous-sol d'une « grande pyramide » qui n'a de pharaonique que la courtisanerie d'un ministre démissionné. En plus, en pire, les récents attentats islamiques qui ont mutilé Paris by night. Ce sont eux la cause des 40 % de nos pertes touristiques. Prépareriez-vous d'un cœur paisible des vacances dont vous craindriez de revenir sans jambes ?

 

Heureusement pour Lui, pour sa curiosité comme pour sa sécurité, TARZAN se fit touriste dans notre pays quand la ville de Paris se sentait fort bien de se sentir française. Cet intermède parisien peu connu de l'existence de l' « homme singe », nécessite une explication aussi courte soit-elle.

 

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Daté de 1912, le roman « Tarzan Of the Apes » raconte l'enfance d'un bébé européen orphelin dans les régions africaines inexplorées du Cap. Ce n'est qu'au terme du récit qu'est confirmée l'origine britannique du jeune « peau sans poil » auxquels les Mangani poilus ont décerné la couronne de Roi de la Jungle.

 

Les lecteurs populaires s’enthousiasment ; les ventes s'accroissent. C'est ce qui incite les directeurs de journaux a réaliser toujours davantage de bénéfices en commercialisant sous la forme d'une suite de dessins une variante artistique du produit littéraire. Le très talentueux Foster se charge du travail, réussissant à promouvoir la bande dessinée dans le domaine de l'art réaliste alors que par habitude elle était cantonnée dans la dérision.

 

On est alors en 1929, dix sept ans après la première parution écrite romancée. Ce n'est que vingt ans plus tard encore, donc en 1949, que l'éditeur italien Del Duca décide de ré-éditer dans l'hebdomadaire TARZAN la version bande dessinée de 1929. Cette BD va occuper le journal depuis le numéro 126 jusqu'au 140. Mais, pour la circonstance, le titre est modifié, devenant « Tarzan à Paris ». Or, les dessins anciens de Foster ne comportent qu'une seule vue montrant l'Arc de Triomphe au loin. C'est insuffisant ! On réagit en faisant appel à Brantonne, spécialiste du tripatouillage des œuvres d'autrui. Brantonne invente, aussitôt, quarante et une images qu'il va intercaler d'un coup entre deux images jadis signées Foster. C'est elles, ces 41 intruses qui servent à légitimer le nouveau titre : « Tarzan à Paris ». Nous y voyons l'homme singe coiffé d'un canotier et s'émerveillant de nos monuments historiques en compagnie de son ami le Lieutenant français Paul D' Arnaud.

 

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Même lorsque Tarzan déambule tranquillement, le destin l'oblige à accomplir des exploits retentissants. (Extrait du numéro 139 du 22 mai 1949).

 

  

Il semble bien que TARZAN ait parcouru pendant plusieurs jours les grands boulevards tracés par le génie d'Haussmann. En tout cas, notre héros africano-british resta bien plus longtemps dans Paris que n'y resta Adolph Hitler lors d'une visite-éclair le 28 juin 1940.

 

Profitons en pour nous souvenir que si Hitler appréciait le film américain « Autant en emporte de vent », il n'appréciait pas la filmographie consacrée à TARZAN. Devons-nous en juger que l'invincible créature née de E.R. Burroughs ne correspond pas à l'übermeusch dont le Troisième Reich faisait son idéal ?

 

 Doc Jivaro (MFCL)

 

Post-scriptum : Dans le livret paru en 2009 à l'occasion de l'importante exposition TARZAN ! dans les locaux du Musée du Quai Branly, l'éditeur L' Étrave attribue à Rex Maxon ce qui appartient à Brantonne (page 59). Erreur à ne pas excuser par l'anonymat sous lequel Brantonne travailla.

 

 

23/02/2016

Les deux armes les plus secrètes du 3ème Reich :

 

 

H I T L E R

  

 ne possédait qu'un seul testicule
  Eva Braun n'en possédait aucun

 

 

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05/02/2016

L'état d'urgence ? un crime contre le terrorisme !

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Nous devons comprendre que les mots « réfugiés » et « migrants » sont utilisés par les humanitaires et les journalistes pour camoufler l'expansion de l'Islam autoritaire dans une Europe malade d'une tolérance suicidaire.

07/12/2015

6 décembre 2015

 

ETRANGER !
Voici ce qu'il t'arrive
quand tu accordes le droit de vote
aux français nés en France

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Comme tous les bons français Sarko daigne 
se déplacer pour les régionales

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