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15/06/2022

Dans une France des Nupes

L'école laïque 

va lutter contre les signes extérieurs

religieux

Ecole-signes-religieux.jpg

 

14/06/2022

Prochaine semaine de canicule :

 

Économisez l’eau

 

 

Cette tétée … Pardon ! Cet été va falloir économiser l’eau. L’H2 O potable autant que sa sœur qui court les ruisseaux.

 

Il y a quand même un fait qui m’étonne depuis des lustres : la chasse d’eau des W.C. utilise l’eau potable pour expulser les étrons, autant ceux de Mélenchon que ceux du Staline de jadis. Je suis pourtant bien certain que nos ingénieux ingénieurs ont depuis longtemps fabriqué des mécaniques qui séparent des eaux usées non traitées de celles dont mon épouse se sert pour laver sa salade de chaque midi. N'empêche que nos politiciens nous conseillent d’économiser l’eau potable sauf pour l’usage de nos chiottes.

 

Quand j’étais gamin mon père avait pour habitude une habitude héritée de son père : il allait faire pipi au fond du jardin, à proximité d’un grand pommier qui me semblait haut comme une maison. Nous avions pour les grosses commissions, un abri installé à bonne distance de notre habitation. Mais lorsque mes parents eurent fait installer des toilettes intérieures, nous dûmes déposer le caca tout à côté de nos chambres à coucher. Preuve que le progrès était parvenu, enfin, jusqu’à nous.

 

- A présent, disait mon père qui ne parlait pas d'écologie, va falloir acheter de l’engrais pour les plantations, la famille ne fournit plus le fumier.

 

C’était encore le progrès, toujours le progrès.

 

Eau-pénurie.jpg

 

10/06/2022

Dans les z'écoles ...

 

vos ados retiennent de travers

la leçon woke

adolescente égorgée,clessé saônne-et-loire,woke

24/05/2022

Feuilletons la mémoire

Diana Boulinier, tu dis ?

 

Parait que les profs et les instits se plaignent d’être de moins en moins respectés par leurs z’élèves.

 

Ils et elles l’ont bien cherché se faire bousculer et insulter.

 

En 81 (Oui de 1900) j’allais donner chaque semaine une heure d’enseignement de bandes dessinées dans une école parisienne, le métro me déposant à la station « Marcadet-Poissonniers ». Dans un 18e arrondissement pas encore frelaté.

 

Vers la fin de l’année la directrice vint m’avertir qu’une réunion des profs allait se tenir afin de prendre une décision sur le cas d’une de mes collègues laquelle venait de gifler un écolier. « Ce ne sont pas des choses à faire ! »

 

- Quoi donc ? Demandais-je. Le gamin a-t’il cassé tous les crayons de couleur mis à sa disposition comme l’a déjà fait dans mon cours, un de ses camarades juste avant l’heure de la sortie ?

 

On en resta là. Dix années passèrent. Entre temps la Secrétaire de l’Association dont je dépendais, m’avait pris en grippe sans que pourtant l’idée me vint de la prendre en levrette. Elle venait de décider de me faire faire plus de boulot sans m’octroyer le paiement d’un centime de plus. Je me retrouvais une heure chaque semaine dans une école rue Saint Jacques non loin de la Sorbonne. Oh ! Surprise : la directrice de l’établissement était la même que celle de l’école proche de Marcadet-Poissonniers.

 

- Tiens ! on se connaît tous les deux. Vous n’êtes plus …

- Oui je n’y suis plus et j’en suis bien contente. J’en avais assez de tous ces gamins de là-bas.

 

Et elle accompagna sa réflexion d’un geste de la main au-dessus de sa tête, mimant une surcharge de problèmes relationnels.

 

Elle me conduisit vers la classe où je devais donner le cours de BD. J’aperçus, dans un couloir, un entassement de cartons d’emballage dont quelques-uns étaient entrouverts. C’était des ordinateurs, probablement Atari ou Amiga. « Oui, fit la directrice. On a reçu ça mais les syndicats des enseignants ont déconseillé aux profs d’aller suivre des formations gratuites en dehors des heures légales de leur temps de travail.

 

Parmi les enfants, était présente une petite demoiselle répondant au prénom Diana. Comme nous étions dans un cours BD, je lui dis : tu sais Diana est la fiancée d’un personnage célèbre de l’Histoire des bandes dessinées, LE FANTOME DU BENGALE.

 

- Tu ne m’apprends rien : mon père est le responsable de la grande librairie de BD BOULINIER du Boulevard Saint Michel.

 

Je ne mis pas en doute la parole de l'enfant. 

 

BD-Fantôme-Bengale,-1952.jpgBD-Fantôme-Bengale,-encart.jpg

 

Diana et sa petite copine de l’époque m’offrirent comme cadeau à l’approche de Noël, un grand dessin que je garde toujours, j’en suis certain, dans l’un de mes cartons d’artiste et collectionneur désordonné. Lorsque je remettrai la main dessus j’en publierai une copie numérisée sur mon blog Bar Zing.

 

Bar Zing

 

22/05/2022

Tarzanides n° 528

 Un singe en nid vert,

dirent Belmondo et Gabin

 

 

La variole du singe ? Disons une contamination par l’anthropoïde africain qui frappa les jeunes lecteurs de l’AS, un illustré dominical, dès que son numéro 1 fut édité en 1937 le 4 avril. Celui-ci venait en remplacement d’un « Petit Illustré ». En quatrième page de l’As - et en couleur ! - était imprimé une « Enfance de Tarzan » qui allait grandement participer à la contagion d’enfants français captivés par le virus du singe, à savoir le virus de Tarzan.

 

BD-Tarzan,-4-avril-1937.jpg

 

Cependant cette version française fournie par L’As restait incomplète. Le premier chapitre du roman écrit en 1912 par Burroughs n’y apparaît pas. La mutinerie des marins qui obligea les futurs parents de Tar-Zan (peau nue) a trouver un refuge précaire sur la côte africaine, n’est pas présente. De même manque l’épisode de la folie de Lady Alice alors qu’elle est enceinte et que son époux Lord Greystoke va bientôt être mis à mort par un gorille géant nommé Kerchak. Les dessins présentés dans L’As sont dus à Harold Foster. Mais seuls les quatorze premiers numéros résultent du très grand talent de celui qui, plus tard, créa le célèbre Prince Vailant (orthographe yankee) ; tous les autres numéros jusqu’au n° 167 final comportent encore le personnage de Tarzan mais dessiné par un certain Rex Maxon. Un Rex Maxon dont Lacassin, spécialiste de la saga de l’homme singe, écrira le plus de mal possible en 1963 dans la revue BIZARRE.

 

Revue-Bizarre,-Tarzan,-1963.jpg

 

Sur ce point, Doc Jivaro et Bar Zing n’ont jamais épousé l’opinion de Lacassin. Pour une bonne raison, une raison d’enfance : c’est par les dessins de Rex Maxon qu’ils connurent d’abord le personnage TARZAN.

 

Ah ! Que je n’oublie pas de vous rappeler que dans ce Tarzan c’est l’homme blanc qui monte et descend de l’arbre. Ce n'est pas l'homme noir. De quoi, aujourd’hui, rassurer un PAP NDIAYE,  lequel aime fréquenter des forums où les visages pâles sont interdits de présence.

 

Doc Jivaro

04/03/2022

Congé de paternité

MIXITÉ ? PARITÉ ?

L'imposture !

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