Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

31/05/2016

Tabac. Tabagisme cancérigène

Les tabacologues 
s'interrogent, effarés : 
" Pourquoi les femmes
ont-elles plus de peine
que les hommes à s'arrêter de fumer ? "

tabac,tabacologue,hypnose anti-tabac,cancérigène,paquets neutres tabac,anne borgne,santé,consommation

 

25/05/2016

Soucieux de la bonne santé des enfants ...


... un syndicat communiste se
préoccupe de la qualité de l'air

essence,total,c.g.t,f.o,raffinerie,pollution,grève,martinez,pierre laurent,pacte germano-soviétique,molotov,thorez,georges marchais

 
 

20/05/2016

Neutres les paquets de clopes

 

Cigarettes, Whisky 
et P'tites pépées ...

Paquets cigarettes-neutres.jpg

 

27/04/2016

Un coca ça va, trois OBAMA bonjour les dégâts

 

T A F T A

tafta,obama,traité transatlantique,valls tafta,collectif stop tafta

21/04/2016

Seine Saint Denis : O.M. - Lille

 

Stade de France

BIÈRE INTERDITE

Bière-dans-les-stades.jpg

 

Paraît que l’alcool serait une des causes des violences dans et autour des stades lors des matchs de football.

 

Mais … (comme médisait le stalinien André-Wurmser). 

 

Mais nos amis musulmans ne boivent pas d’alcool et cet interdit obligatoire par l’Islam n’a pas empêché la mort violente par bousculades, piétinements et compressions pulmonaires de plus de 1 500 pèlerins pendant le rassemblement religieux autour de la Kaaba, le 24 septembre 2015.

 

Être sobre, être à jeun c’est bien, même pour un athée. Ne pas se mélanger à une masse populaire, c’est mieux.

 

Ryal

 

 

01/04/2016

Dans notre assiette, un cadavre !

 

En province, un abattoir, j’ai connu. En tout cas, j’y entrais sans avoir à faire dedans. J’accompagnais mon oncle, boucher à Saint Sauvier. Il s’y rendait pour faire abattre des bêtes après que la loi lui eut enlevé le droit de les saigner tout seul, comme un grand, les bêtes.

 

Les tueurs assommaient à coups de masse … Parfois de travers, ils rataient la tête. disons que, parfois, ils chancelaient, ils titubaient, les hommes. L’alcool … Un bistrot ouvrait en face. Il suffisait de traverser la rue pour y aller et en revenir.

 

- Vas- y ! cogne ! Han !

 

Si le bœuf tournait de l’œil dans la direction de son bourreau, les témoins s’amusaient, lubriques, criant : il t’aime ! Il t’aime ! … ou encore : elle t’aime ! lorsqu’il s’agissait d’une fille que le péquenot du coin avait amenée ici, lui reprochant de ne jamais donner assez de lait.

 

 

En fin d’après midi de je ne sais plus quel jour, un bœuf ou quelqu’autre viande sur pattes s’échappa de l’abattoir. Un délinquant sûrement. Il fallut prévenir la police mais ce fut, disait-on, la gendarmerie qui abattit d’une ou deux balles de fusil l’animal évadé. Paraît qu’il était a moitié égorgé le bestiau à l’instant de son évasion en dehors du camp de la mort. Vous savez : certaines de nos victimes ont, comme ça, des sursauts d’incivilité dus à un évident manque d’éducation.

 

Mon oncle, que j’aimais bien, devait périr d’un cancer quand pour soigner le malade la chirurgie découpait toute une portion de bidoche.

 

Sa veuve, donc ma tante, eut ce mot quelque peu égaré : « Lui qui savait si bien détailler les morceaux ! ».

 

Ryal