Ryal president plus de femmes battues que des femmes mornifées
mais la femme n'est plus ce que c'était à mon époque fallait presque que la mère soit d'accord pour qu'elles couchent et encore on se la retrouvait posée sur l'oreille à se la fumer à la maison
Pas d’affolement dans les chaumières ! … Les femmes battues résultent indirectement mais réellement du Code Civil Napoléon ; tandis que le cas de la prostituée « passée à tabac » résulte du refus catégorique de légaliser pleinement LA courtisane dont l’activité est pourtant traditionnellement inséparable du monde artistique : la danse, la musique, le théâtre … Tous les arts, quoi ! y compris l’art de faire prendre les vessies pour des lanternes.
Dans les vieux westerns de mon enfance, la fille publique du saloon n’apparaît que présentée comme danseuse et chanteuse. (La rivière sans retour, par exemple).
Et je m’abstiens de rappeler que dans les grandes religions païennes disparues la sexualité EST une valeur spirituelle.
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Ryal president plus de femmes battues que des femmes mornifées
mais la femme n'est plus ce que c'était à mon époque fallait presque que la mère soit d'accord pour qu'elles couchent et encore on se la retrouvait posée sur l'oreille à se la fumer à la maison
Pas d’affolement dans les chaumières ! … Les femmes battues résultent indirectement mais réellement du Code Civil Napoléon ; tandis que le cas de la prostituée « passée à tabac » résulte du refus catégorique de légaliser pleinement LA courtisane dont l’activité est pourtant traditionnellement inséparable du monde artistique : la danse, la musique, le théâtre … Tous les arts, quoi ! y compris l’art de faire prendre les vessies pour des lanternes.
Dans les vieux westerns de mon enfance, la fille publique du saloon n’apparaît que présentée comme danseuse et chanteuse. (La rivière sans retour, par exemple).
Et je m’abstiens de rappeler que dans les grandes religions païennes disparues la sexualité EST une valeur spirituelle.
A bientôt, Bob.
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